Canada (juillet 2016)

Posté Par Philippe le 04.08.2016 | 0 commentaire


 

Programme:

 

 

 

jour 1 (10 juillet) : Suisse – Lyon – Montréal

Ce 10 juillet c’est le grand départ pour nos 3 semaines au Canada. Nous sommes partis de la maison hier en fin d’après-midi pour venir dormir à proximité de l’aéroport de Lyon. Nous voulions éviter de nous lever tôt et les tracas possibles sur la route.

A midi nous avons décollé de l’Aéroport Saint-Exupéry à Lyon et 8 heures plus tard (à 14 h, heure locale) nous avons atterri à l’aéroport Pierre-Elliot Trudeau de Montéral. Le vol, bien que relativement long s’est bien déroulé.

Il faisait presque 30°C en partant de Lyon. Il ne fait que 17°C ici. Le temps est couvert et c’est “ventu” comme disent les gens d’ici.

Le temps de récupérer nos bagages nous voici dans le bus 747 qui nous amène au centre le Montréal.

Une petite marche et on arrive à l’hôtel.

Pas de visite ce dimanche.

Résidence la Citadelle (site officiel, booking.com)

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jour 2 (11 juillet) : Montréal

Ce matin nous étions debout tôt. Le décalage horaire n’est visiblement pas encore assimilé …

Le temps est ensoleillé.

En matinée nous nous sommes promenés dans  le quartier du “Vieux-Montréal”. Visite un peu décevante car beaucoup de travaux nous empêchaient de parcourir les ruelles que nous voulions emprunter. Dommage car ce que nous avons pu voir donnait vraiment envie de flâner.

L’après-midi nous avons fait une petite visite du “RESO”, réseau piétonnier souterrain de Montréal, qui couvre une grande partie du centre-ville avec quelque 32 km de galeries piétonnes.

plus de photos ici.

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jour 3 (12 juillet) : Montréal

Ce matin après une petite balade dans le quartier de l’hôtel en solitaire (et aux aurores) nous prenons le bus pour nous rendre dans le quartier de Plateau Mont-Royal. Quartier, plutôt résidentiel dans lequel il doit faire bon vivre. En l’arpentant, on y découvre l’architecture typique montréalaise, avec ses airs victoriens, ses escaliers extérieurs, ses ruelles fleuries. Voici la carte de notre parcours :

A midi nous sommes allés au restaurant “la Banquise”. C’est là que l’on mange les meilleures poutines de Montréal.  La poutine est un mets d’origine québécoise traditionnellement constitué de frites et de fromage en grains que l’on recouvre d’une sauce brune. A la Banquise, en plus de la classique, ils en proposent une trentaine de sortes.

Cet après-midi nous avons fait une petite balade au Parc Mont-Royal. Depuis le belvédère du Chalet du Mont Royal on a pu admirer une superbe vue sur Montréal.

plus de photos ici.

restaurant la Banquise

balade dans le quartier Plateau Mont-Royal:

  • Le parcours débute au square Saint-Louis et se termine au parc La Fontaine (6 km).
  • Ruelle Drolet/Henri-Julien : Du square Saint-Louis (0,0 km), empruntez la rue Drolet jusqu’à la ruelle située entre cette rue et l’avenue Henri-Julien (ruelle Drolet/Henri-Julien). Cette première section de ruelle se révèle fort jolie et très bien aménagée. Il s’agit d’une ruelle champêtre dont on a retiré l’asphalte pour le remplacer par de la pelouse et du gravier.
  • Rue Demers: Passé la rue Rachel, la ruelle s’aventure derrière l’imposante église Saint Jean-Baptiste, érigée en 1874 et pouvant accueillir 3 000 personnes. Après avoir bifurqué dans un passage et traversé un petit parc, vous arriverez sur l’avenue Henri-Julien, à l’angle de la rue Villeneuve où, tout juste au nord, se trouve la charmante et originale rue Demers (1,8 km), qu’il vaut la peine d’admirer quelques instants. Fermée à la circulation automobile, cette toute petite rue, qui ressemble davantage à une ruelle, a des airs d’Italie et de Portugal.
  • Ruelle Saint-André/Mentana: Rebroussez chemin jusqu’à la rue Villeneuve, tournez à gauche, traversez la rue Saint-Denis et empruntez la rue Gilford jusqu’à la rue Saint-André. De là, empruntez la ruelle Saint-André/Mentana vers le sud, jusqu’à l’avenue du Mont-Royal (2,8 km).
  • Ruelle Brébeuf/Chambord: Tournez à gauche sur l’avenue du Mont-Royal et rendez-vous jusqu’à la rue Brébeuf. Empruntez la ruelle Brébeuf/Chambord vers le nord, jusqu’à l’avenue Laurier. Passé la rue Gilford, la ruelle porte le nom de ruelle Modigliani et présente plusieurs jolies murales. Tournez à droite sur l’avenue Laurier et continuez jusqu’à l’avenue Papineau.
  • Ruelle Papineau/Cartier: Tournez à droite sur l’avenue Papineau et, immédiatement, à gauche sur l’avenue Laurier. Tournez tout de suite à gauche dans la première entrée qui mène à la ruelle Papineau/Cartier. Empruntez cette ruelle jusqu’à la rue Masson et, de là, empruntez la ruelle Cartier/Chabot pour revenir sur l’avenue Laurier. À l’angle de l’avenue Laurier et de la rue Chabot (5 km) se trouve le mignon petit parc De Lorimier.
  • Ruelle Chabot/Cartier: Continuez dans la rue Chabot, traversez le boulevard Saint-Joseph, puis la rue Gilford, et empruntez la ruelle Chabot/Cartier jusqu’à l’avenue du Mont-Royal. Tournez à droite sur cette dernière et poursuivez jusqu’à la rue Marquette.
  • Ruelle Marquette/Fabre: Empruntez la ruelle Marquette/Fabre (vers le sud), traversez la rue Marie-Anne et reprenez la ruelle jusqu’à la rue Rachel et au parc La Fontaine (6 km).

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jour 4 (13 juillet) : Montréal – Saint-André

  • Montréal
  • Trois-Rivières
  • Deschambault
  • Saint-Jean-Port-Joli
  • Kamouraska
  • Saint-André

Ce matin nous quittons Montréal pour notre tour en Gaspésie. Nous nous rendons à l’office de location (tout près de l’hôtel) pour récupérer la voiture que nous avons réservée. Les formalités sont un peu longue et visiblement ce que nous avions demandé n’est pas disponible. Mais la responsable de l’agence nous met à disposition un véhicule nettement plus imposant: un GMC Acadia (gros SUV de General Motor). Malgré la taille inhabituelle pour moi d’un tel véhicule, la conduite est assez aisée.

Notre première étape nous amène à Trois-Rivières. Nous faisons un petit tour de ville et nous arrêtons pour manger au “Sacristain” (un resto recommandé par le Routard).

Nous nous remettons en route. Nous faisons un petit arrêt à Deschambault et continuons notre route jusqu’à Saint-Jean-Port-Joli où nous arrêtons pour visiter une érablière.

Après une information complète sur le fonctionnement de l’érablière nous dégustons différents produits, tous aussi bons les uns que les autres. Nous achetons des sirops d’érable divers (du clair principalement) et du beurre d’érable notamment.

Il est déjà presque 18 heures. Nous reprenons la route pour rejoindre Saint-André. En chemin et sous l’orage, nous traversons Kamouraska.

Aujourd’hui nous avons parcouru presque 450 km.

Plus de photos ici.

Manoir Saint-André (site officiel, booking.com)

  • Trois-Rivières (site officiel) : Fondée en 1634 par Laviolette, la capitale régionale de la Mauricie a célébré ses 375 ans en 2009 et a reçu, cette même année, le titre de « Capitale culturelle du Canada ». Trois-Rivières tire son nom des trois chenaux que forme la rivière Saint-Maurice à son embouchure.
  • Deschambault : ravissant petit village.
  • Saint-Jean-Port-Joli (site officiel) : Capitale de la sculpture et des métiers d’art (prochaine Biennale de la sculpture sur bois à l’été 2016), Saint-Jean-Port-Joli est un petit village où le temps semble s’être arrêté.
    • L’érablière Bois-Joli (site)
  • Kamouraska (site officiel) : « Là où il y a jonc au bord de l’eau » : c’est ainsi que les Amérindiens désignaient cet endroit béni des dieux. C’est l’un des plus anciens villages de la côte sud et par conséquent un des plus pittoresques. Le berceau d’un peuple, comme on se plaît à le dire. Ici commence la mer. L’eau douce est maintenant salée. Arthur Buies, célèbre journaliste québécois, disait : « Aller à l’eau salée, veut dire aller à Kamouraska. »
  • Saint-André (site officiel): Ce petit village qui contemple les îles Pèlerins qui lui font face offre une des plus belles vues sur le fleuve. Les îles abritent des milliers d’oiseaux (un centre de documentation des estrans est ouvert de juin à août). Saint-André s’est spécialisé dans la pêche à l’anguille qui s’attrape, à marée basse, avec des filets à fascines.À voir : la plus vieille église du Bas-Saint-Laurent (1806), classée monument historique (2, rue du Cap).
  • Trois-Rivières (site officiel) : Fondée en 1634 par Laviolette, la capitale régionale de la Mauricie a célébré ses 375 ans en 2009 et a reçu, cette même année, le titre de « Capitale culturelle du Canada ». Trois-Rivières tire son nom des trois chenaux que forme la rivière Saint-Maurice à son embouchure.
    • Boréalis, centre d’histoire de l’industrie papetière (site) : Situé dans un bâtiment historique, au confluent de la rivière Saint-Maurice et du fleuve Saint-Laurent, Boréalis présente des expositions interactives de calibre international sur l’exploitation de la forêt boréale québécoise à travers l’industrie papetière de la région, symbole de la prospérité économique mauricienne.
    • Musée québécois de culture populaire et vieille prison de Trois-Rivière (site) : Le Musée québécois de culture populaire vous propose plusieurs expositions permettant de découvrir la culture populaire des Québécois. Dans le même complexe muséal, vous pouvez visiter la Vieille prison de Trois-Rivières ; construite en 1822 par François Baillairgé, elle constitue le meilleur exemple du style palladien au Québec.
    • Sanctuaire Notre-Dame-du-Cap (site) : C’est le troisième lieu de pèlerinage du Québec, dédié à la Vierge Marie à la suite de deux miracles. Le premier eut lieu en 1879 : ce fut la formation du pont de glace sur le fleuve qui permit aux paroissiens du père Désilets de transporter, de la rive opposée, les pierres nécessaires à l’agrandissement de l’église. Le second fut le prodige de la statue de Notre-Dame qui ouvrit les yeux lorsque le père Désilets consacra le petit sanctuaire le 22 juin 1888.
  • Sainte-Anne-de-la-Pérade : Au confluent de la rivière Sainte-Anne et du fleuve Saint-Laurent, Sainte-Anne-de-la-Pérade tire son nom de la Seigneurie qui l’a vue naître. Vous y admirerez ses rues pittoresques, ses vergers en fleurs ainsi que l’architecture patrimoniale des maisons Dorion, Gouin-Bruneau et Rivard Lanouette.
  • Deschambault : ravissant petit village.
  • Cap-Santé : Le Vieux-Chemin, connu comme étant une des plus belles rues du Canada, domine le Saint-Laurent.
  • Saint-Michel-de-Bellechasse (site officiel) : le vieux Saint-Michel présente un ensemble remarquable de maisons de bois blanches dans les divers styles néo classiques du 19ème siècle, avec leurs galeries fleuries, balustrades, porches d’entrée, toitures retroussées, lucarnes et une variété d’éléments décoratifs. Saint-Michel-de-Bellechasse fait partie de l’association des plus beaux villages du Québec.
  • Saint-Vallier (site officiel) : Accroché au flanc d’un coteau surplombant le Saint-Laurent, face à l’Île d’Orléans, Saint-Vallier est un village ombragé et coquet qui a conservé sa quiétude et son cachet d’antan. On notera la présence du Manoir Lanaudière construit en 1767, le moulin des sœurs hospitalières et la maison classée du Docteur Côté.
  • Montmagny (site officiel) : Située en bordure du fleuve, cette ville compte plus de 360 ans d’histoire, à découvrir notamment dans le Vieux-Montmagny qui a su conserver plusieurs de ses bâtiments patrimoniaux. Montmagny est également la capitale de l’oie blanche en raison des fortes migrations des oies des neiges au printemps et à l’automne.
  • L’Islet (site officiel) : Membre de l’Association des plus beaux villages du Québec (site). C’est un très joli village sur le bord du Saint-Laurent et à proximité des plateaux des Appalaches.
  • Saint-Jean-Port-Joli (site officiel) : Capitale de la sculpture et des métiers d’art (prochaine Biennale de la sculpture sur bois à l’été 2016), Saint-Jean-Port-Joli est un petit village où le temps semble s’être arrêté.
    • L’église
    • Le musée des Anciens Canadiens : musée de sculptures sur bois
    • L’érablière Bois-Joli (site)
    • L’érablière M.-A.-Duschênes (site)
  • Kamouraska (site officiel) : « Là où il y a jonc au bord de l’eau » : c’est ainsi que les Amérindiens désignaient cet endroit béni des dieux. C’est l’un des plus anciens villages de la côte sud et par conséquent un des plus pittoresques. Le berceau d’un peuple, comme on se plaît à le dire. Ici commence la mer. L’eau douce est maintenant salée. Arthur Buies, célèbre journaliste québécois, disait : « Aller à l’eau salée, veut dire aller à Kamouraska. »
    • Le musée de Kamouraska (site) : raconte l’histoire et la vie quotidienne d’autrefois des habitants de Kamouraska.
  • Saint-André (site officiel): Ce petit village qui contemple les îles Pèlerins qui lui font face offre une des plus belles vues sur le fleuve. Les îles abritent des milliers d’oiseaux (un centre de documentation des estrans est ouvert de juin à août). Saint-André s’est spécialisé dans la pêche à l’anguille qui s’attrape, à marée basse, avec des filets à fascines.
    • À voir : la plus vieille église du Bas-Saint-Laurent (1806), classée monument historique (2, rue du Cap).

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jour 5 (14 juillet) : Saint-André – Caraquet

  • Saint-André
  • Notre-Dame-du-Portage
  • Rivière-du-Loup
  • Témiscouata-sur-le-Lac
  • Edmundston
  • Grande-Anse
  • Caraquet

Aujourd’hui c’est encore une longue journée de route et, il faut bien le dire, pas grand chose à voir si ce n’est l’étendue de la forêt canadienne.

Notre première halte se fait à Rivière-du-Loup où nous visitons la manoir seigneurial Fraser, résidence victorienne de la fin du 19è s. superbement restaurée. On peut y découvrir l’histoire de cette famille et de son influence sur la région.

Pour nous rendre à Caraquet, dans le New-Brunswick, il nous reste près de 400 km de route. Nous montons donc en voiture et roulons au milieu des immenses forêts.

On est un peu pressé d’arriver car on a bien envie d’aller visiter le village historique acadien qui ferme à 18h. Nous n’avions pas réalisé qu’il y a une heure de décalage entre les deux provinces ce qui fait que nous perdons une heure.

A 16h30 on est arrivé. La température ressentie est proche de 40°C. Malgré ça, vaillamment nous entamons la visite. Ce n’est ni un musée, ni un parc d’attractions. Le Village historique est une reconstitution vivante de l’Acadie d’antan. Le village est constitué d’une soixantaine de maisons et bâtiments datant de 1773 à 1949 provenant de toute la province et remontés sur place. Mais la chose vraiment intéressante est que chaque édifice est “habité” par des interprètes en costume qui font la cuisine, qui s’occupent des animaux ou qui pratiquent leur métier. Ils sont tous en costume d’époque. Vraiment passionnant. A 18h nous n’avons bien entendu pas terminé notre visite mais nous devons sortir. Nous reviendrons demain matin pour terminé la visite (le billet est valable deux jours).

plus de photos ici.

Gîte le Poirier (booking.com) ou lien direct

  • Notre-Dame-du-Portage (site officiel): C’était le dernier parcours terrestre – ou portage – avant le fleuve (lorsque l’on arrivait du lac Témiscouata, à l’intérieur des terres), ce qui explique son nom. Notre-Dame-du-Portage fait partie de l’association des plus beaux villages
  • Rivière-du-Loup (site officiel): Considérée comme une ville étape, Rivière-du-Loup mène à la Gaspésie, aux Provinces Maritimes et à Charlevoix (grâce à son traversier). La ville est bâtie dans un site enchanteur, au flanc des monts Notre-Dame, face au massif laurentien.
    • manoir seigneurial Fraser (site)
  • Grande-Anse (site officiel / localisation) :
    • le village historique acadien (site) : La quasi-totalité de la baie située le long du Nouveau-Brunswick est peuplée d’Acadiens. Leurs descendants sont aujourd’hui encore des agriculteurs et des pêcheurs. Ce village reconstitué témoigne de la vie des Acadiens de 1780 à 1890, époque de grandes privations après la Déportation. En entrant dans le village, passez par le centre d’accueil, où un diaporama présentant l’histoire des Acadiens constitue une bonne introduction à la visite. Encadré par les habitants, vêtus de costumes traditionnels, le village s’étire le long d’une route de 1,6 km. Hormis l’église en bois, tous les bâtiments rassemblés ici sont d’époque et sont meublés de façon à refléter la période. Sur le village flotte le drapeau acadien (tricolore comme le drapeau français, mais frappé dans le bleu de l’étoile de la Vierge). On le rencontre souvent dans les régions acadiennes de Nouvelle-Écosse et de l’île du Prince-Édouard.
  • Caraquet (site officiel, autre)
  • Saint-André (site officiel): Ce petit village qui contemple les îles Pèlerins qui lui font face offre une des plus belles vues sur le fleuve. Les îles abritent des milliers d’oiseaux (un centre de documentation des estrans est ouvert de juin à août). Saint-André s’est spécialisé dans la pêche à l’anguille qui s’attrape, à marée basse, avec des filets à fascines.
    • À voir : la plus vieille église du Bas-Saint-Laurent (1806), classée monument historique (2, rue du Cap).
  • Notre-Dame-du-Portage (site officiel): C’était le dernier parcours terrestre – ou portage – avant le fleuve (lorsque l’on arrivait du lac Témiscouata, à l’intérieur des terres), ce qui explique son nom. Notre-Dame-du-Portage fait partie de l’association des plus beaux villages
  • Rivière-du-Loup (site officiel): Considérée comme une ville étape, Rivière-du-Loup mène à la Gaspésie, aux Provinces Maritimes et à Charlevoix (grâce à son traversier). La ville est bâtie dans un site enchanteur, au flanc des monts Notre-Dame, face au massif laurentien.
    • manoir seigneurial Fraser (site)
  • Cacouna (site officiel) : fait partie de l’association des plus beaux villages.
  • Témiscouata-sur-le-Lac (site officiel): Témiscouata-sur-le-Lac, issu de la fusion des municipalités de Cabano et de Notre-Dame-du-Lac, est le carrefour touristique, commercial et industriel de la région du Témiscouata.
    • parc national du lac Témiscouata (site): Ce dernier-né (175 km²) du réseau des parcs nationaux du Québec est situé dans la plus vaste des régions naturelles situées au sud du fleuve Saint-Laurent : la région des monts Notre-Dame. Articulé autour du plus grand et du plus majestueux lac de la région, le lac Témiscouata, ce territoire est doté d’atouts naturels remarquables et d’une richesse exceptionnelle sur le plan archéologique.
  • Edmundston (site officiel)
  • Bathurst (site officiel)
  • Grande-Anse (site officiel / localisation) :
    • le village historique acadien (site) : La quasi-totalité de la baie située le long du Nouveau-Brunswick est peuplée d’Acadiens. Leurs descendants sont aujourd’hui encore des agriculteurs et des pêcheurs. Ce village reconstitué témoigne de la vie des Acadiens de 1780 à 1890, époque de grandes privations après la Déportation. En entrant dans le village, passez par le centre d’accueil, où un diaporama présentant l’histoire des Acadiens constitue une bonne introduction à la visite. Encadré par les habitants, vêtus de costumes traditionnels, le village s’étire le long d’une route de 1,6 km. Hormis l’église en bois, tous les bâtiments rassemblés ici sont d’époque et sont meublés de façon à refléter la période. Sur le village flotte le drapeau acadien (tricolore comme le drapeau français, mais frappé dans le bleu de l’étoile de la Vierge). On le rencontre souvent dans les régions acadiennes de Nouvelle-Écosse et de l’île du Prince-Édouard.
  • Caraquet (site officiel, autre)
    • le musée acadien
    • le sanctuaire de Sainte-Anne-du-Bocage : La chapelle Sainte-Anne est désignée lieu historique local pour son architecture et également pour son importance religieuse dans la communauté. Nommé « Sanctuaire Sainte-Anne du Bocage », ce site est un lieu de pèlerinage dédié à Sainte Anne depuis près d’un siècle et demi. De nos jours, le sanctuaire Sainte-Anne continue d’offrir à des milliers de catholiques la possibilité de se recueillir lors d’une neuvaine préparatoire à la fête de Sainte-Anne du 17 au 26 juillet. Une messe solennelle est célébrée chaque année, le 15 août pour marquer la fête de Notre-Dame-de-l’Assomption, patronne des Acadiens. Construite vers 1840, dans un bocage qui domine la baie de Caraquet, cette chapelle a subi peu de modifications à l’intérieur. Des rénovations furent par contre effectuées à l’extérieur, ainsi que quelques ajouts au bâtiment. Ce bâtiment en bois d’un étage a une volumétrie rectangulaire et une façade symétrique. De plus, son clocher central de trois étages avec coupole et fenêtres néo-gothique caractérisent son apparence extérieure actuelle.
    • l’écomusée de l’huître (site)
  • Shippagan (site officiel)
  • Ile de Lamèque (site officiel) (site des îles acadiennes, tourisme du New-Brunswick)
    • parc écologique de la péninsule acadienne (site)
    • église Sainte-Cécile
  • Ile de Miscou (site officiel) (site des îles acadiennes, tourisme du New-Brunswick)
    • phare : Au milieu des années 1800, la navigation intense et les nombreux naufrages incitèrent le gouvernement du Nouveau-Brunswick à élever un phare à l’entrée de la baie des Chaleurs. La construction du splendide phare de la pointe Miscou, dont le nom initial était “Birch Point Light” remonte à 1856. Allumé pour la première fois le 4 novembre de la même année, ce phare était le deuxième à être érigé sur les rives du golfe Saint-Laurent, le premier étant celui de la pointe Escuminac, construit en 1841 sur le détroit de Northumberland.

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jour 6 (15 juillet) : Caraquet – Percé

  • Caraquet
  • Bathurst
  • Nouvelle
  • L’Anse-à-Beaufils
  • Percé

Nous commençons notre journée par la suite de la visite du Village historique acadien. Ce matin c’est plus agréable car il fait moins chaud. La partie récente est tout aussi intéressante que la partie plus ancienne. Nous y apprenons plein de chose.

Notre deuxième visite du jour nous amène dans le premier d’une série de parc nationaux, le parc national de Miguasha. Ce parc est inscrit au Patrimoine mondial de l’Unesco pour l’abondance des espèces découvertes et la qualité de leur fossilisation. Migguasha est le site le plus riche au monde concernant le Dévonien, “l’âge des poissons” datant d’il y a 380 millions d’années. C’est ici qu’on a découvert deux preuves fossilisées de l’évolution des poissons vers les premiers vertébrés terrestres. Nous profitons d’une visite guidée du musée et d’une explication sur la plage, là où ont lieu les fouilles.

La dernière visite prévue aujourd’hui est reportée à demain. Nous avions prévu de visité le magasin général historique à l’Anse-à-Beaufils, mais nous avons passé trop de temps dans nos deux premières visites et avons bien entendu sous-estimé les distances à parcourir lors de notre planification. Comme l’Anse-à-Beaufils est proche de Percé et que cette fois le programme n’est pas trop chargé demain, nous reviendrons au magasin général.

Le soir à Percé nous achetons les billets pour nous rendre sur l’île de Bonaventure demain matin.

plus de photos ici.

Riotel Percé (booking.com) ou lien direct

  • Nouvelle :
    • le parc national de Miguasha (site) : Situé dans la région du Québec méridional, sur la côte sud-ouest de la péninsule gaspésienne, le parc national de Miguasha est un site paléontologique remarquable, considéré comme la meilleure illustration de la période du dévonien ou « âge des poissons ». Datée de 370 millions d’années, la formation d’Escuminac, dévonien supérieur, renferme cinq des six groupes de poissons fossiles associés à cette période. L’importance de ce site tient au fait qu’on y trouve la plus grande concentration de spécimens fossiles de poissons à nageoires charnues – en état exceptionnel de conservation – qui sont les ancêtres des premiers vertébrés terrestres respirant de l’air : les tétrapodes.
  • Percé (site officiel, tourisme-gaspésie): Percé doit son nom à un spectaculaire rocher, percé sous l’effet de l’érosion marine, qui se dresse tout près de la côte. Ses dimensions dépassent l’imagination : on a calculé qu’il pesait environ 5 millions de tonnes et qu’il est là, les pieds dans l’eau, depuis 350 millions d’années. Son site exceptionnel ne cesse d’inspirer les artistes et d’attirer les touristes du monde entier. Jacques Cartier a débarqué à Percé en 1535, puis les pêcheurs européens se sont installés sur son littoral dès le XVe siècle.
    • le belvédère du Mont-Joli
    • observation des baleines et phoques (proposée par les compagnies Bateliers de Percé)
    • observation des oiseaux
    • le centre de découverte du parce national de l’île-Bonaventure-et-du-rocher-Percé (site et guide du visiteur)
    • île de Bonaventure et sa colonie des fous de Bassan (visite guidée de l’île tlj vers 10h15 : prendre le premier bateau !)
  • Nouvelle :
    • le parc national de Miguasha (site) : Situé dans la région du Québec méridional, sur la côte sud-ouest de la péninsule gaspésienne, le parc national de Miguasha est un site paléontologique remarquable, considéré comme la meilleure illustration de la période du dévonien ou « âge des poissons ». Datée de 370 millions d’années, la formation d’Escuminac, dévonien supérieur, renferme cinq des six groupes de poissons fossiles associés à cette période. L’importance de ce site tient au fait qu’on y trouve la plus grande concentration de spécimens fossiles de poissons à nageoires charnues – en état exceptionnel de conservation – qui sont les ancêtres des premiers vertébrés terrestres respirant de l’air : les tétrapodes.
  • Maria et Gesgapegiag :
    • La réserve micmac et son église (église en forme de wigwam géant)
  • New Richemond (site officiel): Anglophone, autrefois industrielle et commerciale, cette ville fondée par les loyalistes a grandi avec l’exploitation forestière. On voit de belles demeures cossues dans le centre-ville et, à flanc de montagne, de vastes fermes que l’on atteint par une allée bordée de grands arbres. Depuis le centre-ville, la vue sur la baie est très belle. L’ensemble affiche un caractère très écossais.
    • Le Village gaspésien d’héritage britanique (site) : Visitez le Village et découvrez la vie des premiers colons anglais. Marchez jusqu’à la Pointe Duthie et explorez ce site enchanteur avec ses sentiers forestiers ainsi que ses magnifiques points de vue sur la baie. Notre plage de galets est l’endroit parfait pour un pique-nique. Plongez au cœur de l’histoire en visitant les différentes maisons de ce village historique, qui vous feront revivre l’époque palpitante de nos pionniers. Maisons historiques et ameublement d’époque, interprétation des lieux, animation traditionnelle, galerie d’art, boutique, restaurant et sentiers pédestres vous réservent des moments inoubliables.
  • Bonaventure (site officiel): Bastion acadien de la baie des Chaleurs, la ville de Bonaventure a été fondée en 1760 suite à la déportation des Acadiens des villages du sud des Provinces Atlantiques (Beaubassin, Port-Royal, Grand-Pré).
    • le musée acadien du Québec (site) : Le musée est un lieu d’histoire relatant la vie fascinante des Acadiens du Québec. L’exposition permanente “Une Acadie québécoise” démontre l’importance de la présence acadienne au Québec. Plus d’un million de Québécois sont d’origine acadienne. Plongez dans l’histoire grâce à une salle multimédia. Les maquettes des bâtiments de Bonaventure, conçu par l’artisan Marcel Arsenault, abritent l’âme acadienne de Bonaventure.
  • Paspébiac : Ses habitants sont d’origine basque. De là vient leur charmant accent. Le mot Paspébiac serait un dérivé du mot micmac Ipsigiag qui signifie « batture rompue », ce que suggère la forme du havre où est située la localité.
    • le site historique du Banc-de-Pêche-de-Paspébiac (site) : Ce site, classé monument historique, regroupe 11 bâtiments d’une richesse architecturale exceptionnelle. Datant des 18e et 19e siècles, il demeure un témoin vivant de l’implantation des deux plus importantes compagnies jersiaises ayant exporté à travers le monde la morue salée séchée. Des personnages costumés animeront votre visite. Démonstration de métiers traditionnels.
  • Port-Daniel (site officiel): Ce petit village fort tranquille est construit autour d’une belle baie.
    • Réserve faunique de Port-Daniel (site)
  • Chandler, Pabos Mills (site officiel) : La première pulperie (usine de fabrication de pâte à papier) gaspésienne s’est installée ici en 1913. Elle a fermé depuis, laissant derrière elle des travailleurs mécontents et un taux de chômage élevé. On ne peut pas manquer de voir cette usine, appelée Gaspésia, abandonnée, près de l’eau. Autre curiosité : Unisol, un cargo péruvien cassé en deux, échoué près de la grève en 1983, les manoeuvres dans ce port demandent beaucoup d’habileté…
    • le parc du Bourg de Pabos (site) : Le Parc du Bourg de Pabos renferme les résultats de fouilles archéologiques effectuées dans les années 1980. Les guides costumés vous feront découvrir la vie des pêcheurs de cette seule seigneurie française à exploiter la pêche de façon commerciale. Véritable musée à ciel ouvert, ce sont plusieurs époques qui défilent devant vous. Visite autonome possible.
  • Sainte-Thérèse-de-Gaspé (site officiel): L’économie de cette petite municipalité d’à peine plus de 1000 habitants repose essentiellement sur les pêcheries. Les bateaux que vous verrez accoster ou partir au large témoignent de l’importance de cette industrie.
    • Economusée du salage et du séchage du poisson (site): À une quinzaine de minutes de Percé, située dans un environnement pittoresque, au cœur d’un complexe industriel de pêche, Lelièvre, Lelièvre et Lemoignan Ltée sale et sèche le poisson, selon une méthode traditionnelle, importée de l’île de Jersey en 1755. Découvrez dans l’atelier un savoir-faire unique et un produit typiquement et exclusivement gaspésien.
  • Anse-à-Beaufils: Ce petit village concentre de nombreuses activités de qualité. Pour commencer, allez récolter des agates sur la plage, faites un tour au Magasin Général puis visitez la Vieille Usine.
    • Le magasin général historique authentique 1928 (site)
    • La vieille Usine (site): La reconversion de l’usine à poissons est une grande réussite. Dans ce bâtiment restauré à merveille, des expositions d’art et des spectacles de grande qualité côtoient un café-bistro où les plats sont frais et peu onéreux. Des sentiers de randonnées pédestres partent de l’usine, le long d’une rivière que l’on traverse en nacelle.
  • Percé (site officiel, tourisme-gaspésie): Percé doit son nom à un spectaculaire rocher, percé sous l’effet de l’érosion marine, qui se dresse tout près de la côte. Ses dimensions dépassent l’imagination : on a calculé qu’il pesait environ 5 millions de tonnes et qu’il est là, les pieds dans l’eau, depuis 350 millions d’années. Son site exceptionnel ne cesse d’inspirer les artistes et d’attirer les touristes du monde entier. Jacques Cartier a débarqué à Percé en 1535, puis les pêcheurs européens se sont installés sur son littoral dès le XVe siècle.
    • le belvédère du Mont-Joli
    • observation des baleines et phoques (proposée par les compagnies Bateliers de Percé)
    • observation des oiseaux
    • le centre de découverte du parce national de l’île-Bonaventure-et-du-rocher-Percé (site)
    • île de Bonaventure et sa colonie des fous de Bassan (visite guidée de l’île tlj vers 10h15 : prendre le premier bateau !)

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jour 7 (16 juillet) : Percé – Cap-des-Rosiers

  • Percé
  • Anse-à-Beaufils
  • Gaspé
  • Cap-aux-Os
  • Cap-des-Rosiers

Le matin, au réveil je vais faire un petit tour au belvédère du Mont-Joli.- De la la vue sur le rocher percé est est imprenable.

A 9h nous embarquons sur un bateau qui va nous faire naviguer autour du fameux rocher percé et surtout nous faire faire le tour de l’île Bonaventure. On peut y observer des phoques qui se dorent sur les rochers, et surtout des milliers d’oiseaux (petits pinguins, guillemots, mouettes, fous de Bassan, …). Depuis 1985 l’île est devenue un parc national et depuis lors une zone de préservation extrême y est appliquée de fin mars à octobre. C’est ici que se regroupe la plus grande colonie du monde de fous de Bassan (entre 120’000 et 150’000 individus). Et c’est ce que nous allons voir aujourd’hui.

Pour accéder à la colonie des fous de Bassan il fat traverser l’ile. Depuis le débarcadère, 4 chemins permettent de la rejoindre. Nous nous décidons pour le grand tour. Le chemin des Mousses (3,5 km) nous amène sur le site des fous de Bassan. L’impression à l’arrivée est incroyable. Autant d’oiseaux regroupés au même endroits (voi la vidéo). Pour revenir au débarcadère nous empruntons le chemin de Roy (4,5 km). A l’extrémité de l’île nous pouvons revoir les phoques qui jouent dans la mer ou qui se prélassent au soleil sur les rocher.

Après le repas, nous revenons à l’Anse-à-Beaufils pour visiter le Magasin général historique. Franchir le seuil du magasin général Robin, Jones & Whitman c’est revenir dans le temps (entre 1928 et 1970) lorsque les villageois y trouvaient tout ce dont ils avaient besoin. La visite se fait maintenant sous forme théâtralisée. Vraiment drôle et intéressant. Nous avons eu beaucoup de plaisir à suivre cette visite de 1h30.

Il est déjà presque 17h lorsque nous quittons le magasin pour rejoindre Cap-des-Rosiers. La visite du parc national de Forillon est donc repoussée à demain matin.

plus de photos ici

Hotel – Motel le Pharillon Inc (booking.com, site officiel)

  • Percé (site officiel, tourisme-gaspésie): Percé doit son nom à un spectaculaire rocher, percé sous l’effet de l’érosion marine, qui se dresse tout près de la côte. Ses dimensions dépassent l’imagination : on a calculé qu’il pesait environ 5 millions de tonnes et qu’il est là, les pieds dans l’eau, depuis 350 millions d’années. Son site exceptionnel ne cesse d’inspirer les artistes et d’attirer les touristes du monde entier. Jacques Cartier a débarqué à Percé en 1535, puis les pêcheurs européens se sont installés sur son littoral dès le XVe siècle.
    • le belvédère du Mont-Joli
    • observation des oiseaux
    • le centre de découverte du parce national de l’île-Bonaventure-et-du-rocher-Percé (site)
    • île de Bonaventure et sa colonie des fous de Bassan (visite guidée de l’île tlj vers 10h15 : prendre le premier bateau !)
  • Anse-à-Beaufils: Ce petit village concentre de nombreuses activités de qualité. Pour commencer, allez récolter des agates sur la plage, faites un tour au Magasin Général puis visitez la Vieille Usine.
    • Le magasin général historique authentique 1928 (site)
  • Cap-des-Rosiers: À Cap-des-Rosiers se trouve l’entrée nord de la zone de conservation du parc Forillon.
  • Percé (site officiel, tourisme-gaspésie): Percé doit son nom à un spectaculaire rocher, percé sous l’effet de l’érosion marine, qui se dresse tout près de la côte. Ses dimensions dépassent l’imagination : on a calculé qu’il pesait environ 5 millions de tonnes et qu’il est là, les pieds dans l’eau, depuis 350 millions d’années. Son site exceptionnel ne cesse d’inspirer les artistes et d’attirer les touristes du monde entier. Jacques Cartier a débarqué à Percé en 1535, puis les pêcheurs européens se sont installés sur son littoral dès le XVe siècle.
    • le belvédère du Mont-Joli
    • observation des baleines et phoques (proposée par les compagnies Bateliers de Percé)
    • observation des oiseaux
    • le centre de découverte du parce national de l’île-Bonaventure-et-du-rocher-Percé (site)
    • île de Bonaventure et sa colonie des fous de Bassan (visite guidée de l’île tlj vers 10h15 : prendre le premier bateau !)
  • Anse-à-Beaufils: Ce petit village concentre de nombreuses activités de qualité. Pour commencer, allez récolter des agates sur la plage, faites un tour au Magasin Général puis visitez la Vieille Usine.
    • Le magasin général historique authentique 1928 (site)
    • La vieille Usine (site): La reconversion de l’usine à poissons est une grande réussite. Dans ce bâtiment restauré à merveille, des expositions d’art et des spectacles de grande qualité côtoient un café-bistro où les plats sont frais et peu onéreux. Des sentiers de randonnées pédestres partent de l’usine, le long d’une rivière que l’on traverse en nacelle.
  •  Pointe-St-Pierre
    • La Pointe St-Pierre est un endroit magnifique où vous retrouverez toute la faune et la flore que l’on peut voir sur les sites de faible profondeur de l’Ile Bonaventure, mais l’endroit n’est pas achalandé et certaines plongées peuvent se faire du bord. Les sites sont donc pratiquement vierges et méritent qu’on les protège, alors soyez prudent de ne rien toucher. La petite île plate (Ile Plateau) qui se trouve à faible distance de la rive sert de refuge à une colonie de phoques gris. Vous trouverez partout plusieurs formations rocheuses recouvertes de petites anémones plumeuse et peuplées d’oursins, de crabes, de homards et de phoques. La plongée dans cette région est généralement aisée, sauf à quelques occasions où il peut y avoir un fort courant, indépendant de la marée.
  • Saint-Georges-de-Malbaie :
    • A l’instar des rochers énigmatiques du plateau de Markawasi au Pérou, le site de Malbaie possède son visage sculpté, un visage d’indien, un visage…et une légende, à fois triste et lumineuse, celle de “L’indien qui ne regardait jamais la mer” : La légende raconte que des hommes blancs venus d’Europe sur un grand voilier ont un jour jeté l’ancre dans une anse située non loin de l’île Plate qui fait face à la Pointe-Saint-Pierre. Alors qu’ils allaient sur le rivage, pour s’approvisionner en eau douce et en fruits sauvages, ils aperçurent une jeune princesse indienne occupée dans la forêt à divertir de jeunes enfants. Les hommes venus d’ailleurs la capturèrent et l’amenèrent dans leur lointain pays. Ce triste visage, dont le regard est rivé à la falaise, est delui de son amoureux qui attend inlassablement son retour. Résolu dans son chagrin à tourner le dos à la mer tant que celle-ci ne lui ramènera pas sa bien-aimée.
  • Gaspé (site officiel): C’est ici qu’en juillet 1534 Jacques Cartier plante sa croix, prenant symboliquement possession du Canada au nom du roi de France. Gaspé viendrait du mot gespeg qui signifie, en langue micmac, « fin des terres, bout, extrémité ». Gaspé regroupe 17 villages, s’étendant de l’Anse-à-Valleau jusqu’à Douglastown, sur une superficie de 1 447 km². Certains villages sont inclus dans le territoire du parc national de Forillon.
    • Le musée de la Gaspésie et le monument à Jacques Cartier (site) : musée pluridisciplinaire consacré à l’histoire et à la culture locales organise plusieurs expositions temporaires. Quant à la section permanente, elle entraîne le visiteur dans un rapide mais complet tour de la Gaspésie.
    • Le site d’interprétation de la culture micmac de Gespeg (site)
    • La cathédrale (site) : seule cathédrale en bois d’Amérique du Nord
  • Cap-aux-Os : Cap-aux-os est l’un des villages qui s’est le plus développé aux cours des dernières années. À quelques minutes, vous trouverez l’un des plus grands et certainement le plus beau Parc National du Québec, le Parc National Forillon. Les visiteurs peuvent connaître l’histoire des pêches ainsi que de ses habitants, depuis le début du siècle dernier. L’été, le Parc offre beaucoup d’animations, de causeries et des sentiers pédestres dans la forêt ou sur le bord de la mer.
  • Le parc national de Forillon (site et guide du visiteur) : Façonné par l’érosion, le parc national Forillon offre un décor impressionnant où se côtoient les montagnes, les prairies parsemées de fleurs sauvages, les plages de galets bordant les petites anses, ainsi que les falaises escarpées surplombant la mer. Forillon abrite une faune terrestre variée et facilement observable dont l’ours noir et l’orignal et accueille aussi d’importantes colonies d’oiseaux de mer, notamment les cormorans, les mouettes tridactyles et les petits pingouins. Les eaux entourant le parc sont fréquentées par différentes espèces de phoques et de baleines dont le rorqual à bosse, le petit rorqual, le dauphin à flancs blancs.
    • les falaise du cap Bon-Ami (accessibles en voiture)
    • le cap Gaspé (et son phare) : Juché sur une falaise de 95 mètres, le phare de Cap Gaspé guide les navigateurs depuis plus de 140 ans. Le premier phare de Cap Gaspé, construit en 1873, était une maison-phare de bois typique des phares construits le long du Saint-Laurent au 19e siècle. Incendié, il sera remplacé en 1892 par un second phare, très semblable au premier. La position du phare de Cap Gaspé, au sommet de la falaise, offre bien sûr une parfaite visibilité, tant du côté de la baie que du côté du golfe. Toutefois, le bâtiment ainsi exposé aux grands vents et aux intempéries se détériore rapidement. La tour du deuxième phare s’effondre d’ailleurs en 1946. Un troisième phare, en béton cette fois, est érigé en 1950. C’est ce même phare que vous pouvez admirer aujourd’hui. À 4 km de marche de l’Anse-aux-Amérindiens Le site du phare de Cap Gaspé est accessible à pied ou à vélo via le sentier des Graves.
    • Le magasin général Hyman & Sons : Ce magasin général historique recèle de trésors ! Il occupe le rez-de-chaussée de l’authentique résidence que se fit construire William Hyman en 1864.
    • La maison de pêcheur de l’anse Blanchette : Visitez la maison de la famille Blanchette, la grange, le hangar à poisson, le hangar à bois et les installations liées à la production familiale de poisson séché et prenez le temps de discuter avec les interprètes costumés qui vous y attendent. En complément à votre visite, arrêtez-vous quelques instants pour visionner la vidéo intitulée « On regardait toujours vers la mer » présentée dans la grange.
    • La maison Dolbel-Roberts : Entrez dans cette maison centenaire et découvrez, à travers l’exposition « Ces Gaspésiens du bout du monde », la vie des gens qui habitaient autrefois la péninsule de Forillon.
    • diverses randonnées
  • Cap-des-Rosiers: À Cap-des-Rosiers se trouve l’entrée nord de la zone de conservation du parc Forillon.

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jour 8 (17 juillet) : Cap-des-Rosiers – Le parc national de la Gaspésie

  • Cap-des-Rosiers
  • Petite-Vallée
  • La Martre
  • Sainte-Anne-des-Monts
  • Parc National de la Gaspésie

Aujourd’hui c’est de nouveau un parc que nous visitons: celui de Forillon. Nous nous sommes décidé pour la balade qui nous conduit au cap de Gaspé (9 km aller et retour). Le sentier aller est sympa. Il nous fait tantôt longer le bord de mer, tantôt il nous emmène un peu sur les hauteurs dans la forêt. Une fois arrivé au phare, un chemin descend sur la gauche et annonce “belvédère du bout du monde”. Nous le prenons. En chemin on nous apprend qu’un ours noir est en train de festoyer sur la plage en contre-bas. Nous nous dépêchons donc de rejoindre le point de vue. En effet un ours noir est bien là. Il a visiblement terminé son repas et remonte la pente pour rejoindre la forêt. Il passe à 3 mètres de nous ! Rencontre magnifique !

Le retour à la voiture se fait sur un chemin carrossable.

Après le repas nous faisons encore un petit crochet au Cap de Bon-Ami pour admirer les falaises puis nous mettons en route pour notre prochain parc: celui de Gaspésie où nous passerons deux nuits.

plus de photos ici.

Gîte du Mont-Albert (booking.com, site officiel)

  • Cap-des-Rosiers : petit village paisible perché sur les falaises, sous la protection du plus haut phare du Canada d’où vous avez une vue superbe (après les 122 marches !). L’avancée rocheuse, témoin de nombreux naufrages, marque pour les marins la démarcation entre l’estuaire et le golfe du Saint-Laurent. Cap-des-Rosiers, avec Cap-aux-Os, est l’un des deux points de chute pour l’exploration du parc Forillon.
    • Le phare du Cap-des-Rosiers (site)
  • Petite-Vallée : petit village côtier est blotti près d’une anse, au creux d’une petite vallée, d’où l’origine de ce toponyme. Grâce à son Festival en chanson et au Théâtre de la Vieille Forge, Petite-Vallée est reconnu pôle culturel majeur à l’est de Québec et pépinière de talents de la chanson, du théâtre et des arts de la scène. Un sentier pédestre de moins de un kilomètre vous mène au mont Didier, d’où vous avez une vue panoramique. Faites un arrêt à la halte touristique aménagée au havre de pêche.
    • Le phare de la Pointe-à-la-Renommée (site) : Campé dans un panorama impressionnant et magnifique surplombant le Saint-Laurent, ce site historique relate l’histoire de la première station radio-maritime en Amérique du Nord, installée par Marconi en 1904. Reconnue par la Commission des lieux et Monuments historiques du Canada en 2011, comme Événement historique national du Canada. En hommage à la première station de la Marconi Wireless Company, une plaque commémorative fût dévoilée le 29 septembre 2012 à cet endroit. Grâce aux expositions « L’Espace d’une vie à Pointe-à-la-Renommée » et « Marconi, histoire des communications et radio », découvrez ce qu’était la vie des opérateurs radio, des gardiens de phares et de leurs familles. Vous visiterez le phare ayant le plus voyagé au monde; après 20 ans d’exil dans le port de Québec, il est revenu sur son site initial en 1997.
  • La Martre (site officiel) : Petit hameau de la Haute-Gaspésie, La Martre est connue dans le coin pour son phare rouge octogonal construit en 1906. Jolie église en bardeaux de cèdre du début du XXe siècle.
    • Le musée des phares (site) : Découvrez un phare doté d’une structure de bois unique et opérationnel depuis 1906, où vivre la force du vent et le romantisme du balcon de veille. La rotation du module d’éclairage y est encore assurée par le système d’horlogerie d’origine. La nouvelle exposition permanente du Musée des phares permet de découvrir l’évolution du système canadien d’aides à la navigation ainsi que tous les détails entourant le naufrage de deux navires ayant sombré à proximité respectivement aux XVIIIe siècle et XXe siècle.
  • Sainte-Anne-des-Monts (site officiel) : Située à 87 km de Matane, la petite ville de Sainte-Anne-des-Monts est située sur une côte rocheuse et découpée, entre mer et montagnes. On peut y faire une halte, car les environs sont très beaux et le Parc national de la Gaspésie tout proche.
  • Parc National de la Gaspésie (site officiel et guide du visiteur) : diverses activités (randonnées, …)

  • Cap-des-Rosiers : petit village paisible perché sur les falaises, sous la protection du plus haut phare du Canada d’où vous avez une vue superbe (après les 122 marches !). L’avancée rocheuse, témoin de nombreux naufrages, marque pour les marins la démarcation entre l’estuaire et le golfe du Saint-Laurent. Cap-des-Rosiers, avec Cap-aux-Os, est l’un des deux points de chute pour l’exploration du parc Forillon.
    • Le phare du Cap-des-Rosiers (site)
  • L’Anse-au-Griffon: Plusieurs légendes locales entourent le nom de cette municipalité. Certains disent que ce serait le nom du bateau qui longea les côtes au XVIIIe siècle alors que pour d’autres, le nom ferait allusion à la couleur des fonds marins (l’Anse « aux gris-fonds »). La plus populaire raconte que le Diable serait apparu, répondant à l’appel de naufragés en détresse. Il aurait laissé la marque de ses griffes sur le flanc de la petite embarcation où ils s’étaient réfugiés.
    • Le manoir Le Boutillier (site) : lieu historique national, vous propose la visite commentée de la maison d’échange et de commerce de John Le Boutillier, grand industriel de la pêche (1850-1860). La beauté et l’authenticité du décor, la présence de nombreux objets d’époque, les explications judicieuses de vos guides et animateurs vous feront revivre ce temps où l’anse bourdonnait d’une vie économique intense. Le Manoir Le Boutillier fait notamment la promotion des métiers d’art et du terroir de la région en mettant en valeur le patrimoine maritime.
  • Rivière-au-Renard : capitale des pêches. Un contact direct et authentique avec les pêcheurs. Découvrez l’histoire des pêches, des premiers vigneaux sur la grève aux biotechnologies. Dégustez les produits de la mer, frais pêchés. Visitez également le dernier moulin à vapeur de la Gaspésie. Près de 100 ans de sciage à revivre.
  • Petite-Vallée : petit village côtier est blotti près d’une anse, au creux d’une petite vallée, d’où l’origine de ce toponyme. Grâce à son Festival en chanson et au Théâtre de la Vieille Forge, Petite-Vallée est reconnu pôle culturel majeur à l’est de Québec et pépinière de talents de la chanson, du théâtre et des arts de la scène. Un sentier pédestre de moins de un kilomètre vous mène au mont Didier, d’où vous avez une vue panoramique. Faites un arrêt à la halte touristique aménagée au havre de pêche.
    • Le phare de la Pointe-à-la-Renommée (site) : Campé dans un panorama impressionnant et magnifique surplombant le Saint-Laurent, ce site historique relate l’histoire de la première station radio-maritime en Amérique du Nord, installée par Marconi en 1904. Reconnue par la Commission des lieux et Monuments historiques du Canada en 2011, comme Événement historique national du Canada. En hommage à la première station de la Marconi Wireless Company, une plaque commémorative fût dévoilée le 29 septembre 2012 à cet endroit. Grâce aux expositions « L’Espace d’une vie à Pointe-à-la-Renommée » et « Marconi, histoire des communications et radio », découvrez ce qu’était la vie des opérateurs radio, des gardiens de phares et de leurs familles. Vous visiterez le phare ayant le plus voyagé au monde; après 20 ans d’exil dans le port de Québec, il est revenu sur son site initial en 1997.
  • Madeleine (site officiel)
    • le phare du Cap Madeleine
  • Mont-Louis: Situé à mi-chemin entre Mont-Saint-Pierre et L’Anse-Pleureuse, ce petit village tire son nom de Louis XV qui concède les premières terres de l’endroit. Des postes de pêche sont construits dès 1697 mais les soldats du général Wolfe brûlent tout en 1758 lors de la conquête de la Nouvelle-France par les Anglais.
  • Mont-Saint-Pierre (site officiel): Point de départ pour la visite du parc national de la Gaspésie et de la réserve faunique des Chic- Chocs (secteur du mont Jacques Cartier), Mont- Saint-Pierre fait partie des plus beaux villages de Gaspésie.
    • Réserve faunique des Chic-Chocs (site): La Réserve faunique des Chic-Chocs (1 129 km²) se divise en deux parties bien distinctes : la majeure partie du territoire (1 048 km²) située au sud et à l’est du parc national de la Gaspésie, l’autre partie (81 km²) au nord du parc. Elle est créée en 1949 afin de préserver un territoire exceptionnel pour la faune et permettre une meilleure utilisation du territoire. Le vénérable père Le Clerk s’exclamait à la fin du XVIe siècle : « Un pays plein de montagnes, de bois, et de rochers ». En effet, ce lieu englobe des montagnes impressionnantes de plus de 800 m dont les monts Blanche-Lamontagne (940 m), Vallières de-Saint-Réal (940 m), Hog’s Back (830 m) et le mont Brown (920 m). La forêt est couverte de sapinières à épinette noire et à bouleaux blancs, et on trouve une végétation typique de la toundra sur les sommets les plus élevés. On compte une quarantaine de lacs et de nombreux ruisseaux et rivières. Une véritable nature harmonieuse au sein de la chaîne des Appalaches.
  • La Martre (site officiel) : Petit hameau de la Haute-Gaspésie, La Martre est connue dans le coin pour son phare rouge octogonal construit en 1906. Jolie église en bardeaux de cèdre du début du XXe siècle.
    • Le musée des phares (site) : Découvrez un phare doté d’une structure de bois unique et opérationnel depuis 1906, où vivre la force du vent et le romantisme du balcon de veille. La rotation du module d’éclairage y est encore assurée par le système d’horlogerie d’origine. La nouvelle exposition permanente du Musée des phares permet de découvrir l’évolution du système canadien d’aides à la navigation ainsi que tous les détails entourant le naufrage de deux navires ayant sombré à proximité respectivement aux XVIIIe siècle et XXe siècle.
  • Sainte-Anne-des-Monts (site officiel) : Située à 87 km de Matane, la petite ville de Sainte-Anne-des-Monts est située sur une côte rocheuse et découpée, entre mer et montagnes. On peut y faire une halte, car les environs sont très beaux et le Parc national de la Gaspésie tout proche.
    • Exploramer (site) : Situé sur le quai à Sainte-Anne-des-Monts, Exploramer est un complexe d’activités axées sur le milieu marin du Saint-Laurent. Proposant un Parc aquarium, des bassins tactiles, un musée, des excursions en mer, des activités de cueillette de poissons et le programme Fourchette bleue, Exploramer offre à ses visiteurs la mer à découvrir.
      • Aquariums et bassins tactiles présentant une collection vivante des espèces et organismes vivant dans le Saint-Laurent
      • Activités de cueillette de poissons
      • Excursions écologiques en mer à bord du JV Exploramer
      • Expositions interactives sur la mer dévoilant aux visiteurs des aspects insoupçonnés du fleuve
      • Visites commentées par des biologistes
  • Parc National de la Gaspésie (site officiel) : diverses activités (randonnées, …)

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jour 9 (18 juillet) : Le parc national de la Gaspésie

Le parc national de la Gaspésie

Haut lieu de la randonnée pédestre, le parc national de la Gaspésie donne accès à un environnement montagnard exceptionnel. Les monts Chic-Chocs et McGerrigle traversent le parc. Parmi eux se trouve le mont Jacques-Cartier, le deuxième plus haut sommet du Québec. L’altitude de ces montagnes influence profondément le climat qui modèle tout le paysage et crée une diversité d’espèces unique au Québec et même au monde. Plantes arctiques-alpines et paysages de toundra constituent l’habitat d’un troupeau de caribous des bois, derniers représentants de cette espèce au sud du fleuve Saint-Laurent.

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carte en version plus grande ici (et le guide du visiteur)

Aujourd’hui nous partons à la “chasse” à l’orignal. Dans le parc plusieurs circuits de marche sont proposés. Nous hésitions entre deux principaux:

  • le circuit du Mont-Ernest-Laforce (une boucle de 4,5 km)
  • le circuit du Mont-Jacques-Cartier (8,5 km en aller et retour)

Finalement au vu de la météo annoncée (pluie dans l’après-midi) nous nous décidons pour le premier. Le problème du second est qu’il est très réglementé dans sa pratique car il fait partie d’une zone de préservation extrême. On ne peut pas commencer la marche avant 10h30.

A 8h nous prenons nos billets pour accéder au parc et roulons 5km sur une route gravillonneuse pour atteindre le début du circuit. Il paraît que la probabilité d’observer des orignaux est assez forte tôt le matin ou en couché du soleil.

La marche est agréable. Arrivé près du sommet plusieurs personnes sont arrêtées et observent quelques choses avec des jumelles. Il y a en effet des orignaux, mais sur le versant opposé d’une colline. Sans les jumelles (et encore) il est impossible de les voir. Nous avons aussi la chance de voir un ours noir qui s’approche d’un orignal mâle. Un peu déçu de les voir aussi loin nous poursuivons notre randonnée jusqu’au sommet puis redescendons pour aller chercher la voiture.

Sur le chemin du retour nous nous arrêtons et marchons jusqu’au Lac des Américains (2,6 km en aller et retour). Ce lac occupe le fond d’un cirque glaciaire. Assez sympa à voir, mais le sentier pour y accéder n’est pas génial.

vers 14h, comme la pluie annoncé n’est toujours pas arrivée, je refais, avec Karim, une petite sortie jusqu’au belvédère des Saillie (3,4 km en aller et retour). Depuis là on a une vue sur le gîte du Mont-Albert et sur les sommets situés derrière lui. Cette balade n’a rien de vraiment intéressant si ce n’est l’effort à fournir pour y arriver. Juste avant de rentrer, en longeant la rivière Sainte-Anne, Karim aperçoit un castor qui nage et tente de remonter le courant. Nous le suivons pendant 5 bonnes minutes. Journée sauvée ou presque.

En fin d’après-midi, et sous la pluie cette fois, nous refaisons une tentative pour voir des orignaux. A une trentaine de kilomètres du gîte il y a un belvédère (au bord du lac Paul) où ces cervidés peuvent être observés au crépuscule. Après 15 km nous quittons la route principale et nous nous engageons sur la route gravillonneuse. Heureusement que nous avons un véhicule plus ou moins adapté à ce genre de route car les conditions sont vraiment pas terrible. Après une bonne dizaine de kilomètres, nous renonçons à poursuivre notre route et revenons en arrière. La route est vraiment dans un sale état et la pluie est vraiment trop forte. Il fait presque nuit alors qu’il n’est que 6 h du soir.

Après nos deux premières journées “animalières” qui avaient été un succès (oiseaux marins et phoques pour la première et ours noir pour la deuxième), celle-ci est plus mitigée: un beau castor et dans le lointain quelques orignaux.

plus de photos ici.

  • Parc National de la Gaspésie (site officiel, carte des sentiers) : diverses activités (randonnées, …) Situé en plein coeur de la péninsule gaspésienne, le parc national de la Gaspésie (802,2 km²) est une véritable mer de montagnes qui offre un panorama grandiose. Le parc compte 25 sommets de plus de 1 000 m dont les monts Albert (1 154 m) et Jacques-Cartier (1 268 m). Ces sommets, parmi les plus hauts de l’Est du pays, sont célèbres pour leur végétation subarctique identique à celle du Grand Nord québécois. On retrouve, sur le même territoire, une diversité d’espèces vivantes unique au Québec dont l’orignal, le cerf de Virginie et le caribou de la Gaspésie.

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jour 10 (19 juillet) : Le parc national de la Gaspésie – Rimouski

  • Parc national de Gaspésie
  • Grand-Métis
  • Rimouski

Ce matin il fait froid (12°C). Le ciel est encore bien chargé en nuages. Pas très grave puisque nous quittons le parc. C’est aussi notre dernier jour en Gaspésie. Demain matin nous traverserons le Saint-Laurent pour rejoindre la rive nord du fleuve.

Sur la route qui nous mène à Rimouski, nous faisons un arrêt aux Jardins de Métis, paradis végétal de style anglais qui s’étend sur 90 hectares, parcourus de ruisseaux et d’allées remplies de plantes et fleurs. Au centre du parc on peut visiter la villa Estevan, résidence d’été de la fondatrice de ce parc.

Après un détour par Rimouski pour manger nous nous rendons au Canyon des Portes de l’Enfer. Ce canyon, dans lequel s’encaisse la rivière Rimouski et dont les parois rapprochées et abruptes peuvent atteindre une hauteur de 90 m, s’étend sur près de 5 km. Son nom vient du fait qu’autrefois, les arbres se rejoignaient pour former un pont naturel, constituant ainsi un obstacle infernal pour la drave. Au début des sentiers se trouve la chute du Grand Sault, d’une hauteur de 20 m. Les sentiers sont boisés et mènent à la plus haute passerelle suspendue au Québec, juchée à 63 m. La Descente aux Enfers, un escalier de 300 marches descendant au niveau de la rivière Rimouski, offre un point de vue sur la chute de la rivière du Grand Macpès.

Le soir, puisque nous dormons tout près de la Pointe-au-Père, je fais un tout petit tour pour voir le phare et le sous-marin Onondaga.

plus de photos ici.

Motel au Soleil Couchant (booking.com, site officiel)

  • Grand-Métis (site officiel): Grand-Métis et Métis-sur-Mer sont aujourd’hui encore des destinations privilégiées de la bourgeoisie anglaise de Montréal.
    • Les jardins de Métis (site): Ces jardins à l’anglaise, d’une superficie de 17 hectares, bénéficient d’un microclimat exceptionnel. Ils comprennent plus de 3 000 espèces de fleurs et de plantes ornementales, parmi lesquelles certaines sont très rares. L’ensemble est composé d’une quinzaine de jardins distincts où poussent plantes annuelles et plantes vivaces.
  • Rimouski (site officiel): Rimouski, qui signifierait « cabane à chien » ou « terre à l’orignal » dans la langue des autochtones, est la métropole du Bas-Saint-Laurent, sa capitale administrative et culturelle. Les origines de la ville, située sur trois monts, au bord du fleuve Saint-Laurent, remontent aux Indiens Micmacs qui campaient sur le bord de la rivière qu’ils scrutaient attentivement. Le 6 mai 1950, Rimouski a vécu plus grande tragédie de son histoire alors qu’un terrible incendie a ravagé le tiers des bâtiments de la ville, détruit l’usine de la Price Brothers ainsi que les ponts sur la rivière Rimouski. Étonnamment, le feu n’a fait ni victime, ni blessé grave. De nos jours, Rimouski est une ville vivante, réputée pour son Institut Maritime et son Institut des sciences de la mer, posée sur les berges du Saint-Laurent.
    • Canyon des Portes de l’Enfer (site): Ce canyon s’étire sur près de 5 km entre des parois encaissées, mesurant jusqu’à 90 m de hauteur, creusées par la rivière Rimouski et dominées par une passerelle impressionnante, la plus haute au Québec. (itinéraire).

  • Cap-Chat: À 2 km à l’ouest des Méchins, un rocher rappelle la forme d’un chat accroupi. Il aurait, dit-on, inspiré le nom de la localité. C’est ici que le fleuve devient golfe du Saint-Laurent.
    • Eole Cap-Chat (site): Situé à l’ouest de Cap-Chat, on y propose la visite guidée de la plus haute et plus puissante éolienne à axe vertical au monde (prototype de R&D) ainsi que d’éoliennes à axe horizontal.
  • Matane (site officiel): L’origine du nom de la ville viendrait d’un mot indien d’origine micmac signifiant « vivier de castor ». Port industriel, centre commercial et administratif, Matane possède un chantier naval et l’usine de transformation de crevettes la plus importante du Québec.
    • Poste d’observation pour la montée du saumon de Matane (site)
    • Réserve faunique de Matane (site): Créée en 1962, la réserve faunique de Matane est un territoire de 1 275 km² reconnu pour sa richesse faunique exceptionnelle. Les paysages grandioses englobent montagnes, vallées profondes et de majestueux cours d’eau. On y retrouve la plus grande concentration d’orignaux au Québec, et un centre d’interprétation et différentes randonnées guidées permettent de mieux connaître ce cervidé (début juillet à début septembre).
  • Métis-sur-Mer: fait partie de l’association des plus beaux villages du Québec (site).
  • Grand-Métis (site officiel): Grand-Métis et Métis-sur-Mer sont aujourd’hui encore des destinations privilégiées de la bourgeoisie anglaise de Montréal.
    • Les jardins de Métis (site): Ces jardins à l’anglaise, d’une superficie de 17 hectares, bénéficient d’un microclimat exceptionnel. Ils comprennent plus de 3 000 espèces de fleurs et de plantes ornementales, parmi lesquelles certaines sont très rares. L’ensemble est composé d’une quinzaine de jardins distincts où poussent plantes annuelles et plantes vivaces.
  • Sainte-Flavie (site officiel): Sainte-Flavie, bourg agricole, est la porte d’entrée de la péninsule gaspésienne.
    • Centre d’Art Marcel Gagnon (site): L’attrait principal du musée, l’énigmatique Grand Rassemblement, vous fera immanquablement penser à l’île de Pâques en plus petit et en plus québécois. Marcel Gagnon, le fondateur du Centre, a installé, à l’extérieur de sa maison et jusque dans le fleuve, plus de 100 sculptures grandeur nature, dressées au grand vent et figées dans le temps.
  • Sainte Luce (site officiel)
    • L’église de Sainte-Luce
  • Rimouski (site officiel): Rimouski, qui signifierait « cabane à chien » ou « terre à l’orignal » dans la langue des autochtones, est la métropole du Bas-Saint-Laurent, sa capitale administrative et culturelle. Les origines de la ville, située sur trois monts, au bord du fleuve Saint-Laurent, remontent aux Indiens Micmacs qui campaient sur le bord de la rivière qu’ils scrutaient attentivement. Le 6 mai 1950, Rimouski a vécu plus grande tragédie de son histoire alors qu’un terrible incendie a ravagé le tiers des bâtiments de la ville, détruit l’usine de la Price Brothers ainsi que les ponts sur la rivière Rimouski. Étonnamment, le feu n’a fait ni victime, ni blessé grave. De nos jours, Rimouski est une ville vivante, réputée pour son Institut Maritime et son Institut des sciences de la mer, posée sur les berges du Saint-Laurent.
    • Canyon des Portes de l’Enfer (site): Ce canyon s’étire sur près de 5 km entre des parois encaissées, mesurant jusqu’à 90 m de hauteur, creusées par la rivière Rimouski et dominées par une passerelle impressionnante, la plus haute au Québec. (itinéraire).
    • Musée régional de Rimouski (site): Situé face au fleuve, ce musée est installé dans la première église de pierres de l’est du Québec. Expositions portant sur l’art contemporain, l’histoire régionale et les sciences.
    • Réserve faunique de Rimouski (site): chasse, cette réserve (731 km²) a conservé sa vocation première. Elle compte de nombreux lacs (près d’une cinquantaine) et plusieurs ruisseaux et rivières. Une grande diversité biologique et de nombreux sites aménagés pour l’observation de la faune en font une destination de choix.
    • Site historique maritime de la Pointe-Au-Père (site): Depuis 2009, le sous-marin Onondaga, ancienne propriété de la marine canadienne, est accosté pour y rester ! Venez découvrir le quotidien d’une soixantaine d’hommes qui vivaient confinés pendant des mois dans ce sous-marin.
  • Le Bic (site officiel): C’est le plus grandiose panorama du Bas-du- Fleuve. Une légende raconte qu’à la Création, l’ange chargé de distribuer les îles et les montagnes a vidé à cet endroit le reste de son sac. En sont sorties des îles d’une grande beauté. Il y a aujourd’hui un village et un parc. Bic est probablement un diminutif de bicoque, ou bien encore une erreur de typographie : on aurait dû lire Pic…
    • Parc national du Bic (site et le guide du visiteur): Situé dans l’estuaire maritime du Saint-Laurent, le parc national du Bic (33,2 km²) se compose de caps, baies, anses, îles et montagnes. Le pic Champlain (baptisé par Champlain en 1603) est la plus haute montagne de ce parc qui comporte également le cap Enragé, l’île du Massacre, l’île Brûlée (ou île Ronde), la baie des Roses, la pointe aux Anglais, l’île Bicquette, l’anse à Mouille-Cul et l’anse des Pilotes.

prolongement possible:

  • Parc National du Bic (40 km aller et retour)
  • Trois-Pistoles (120 km aller et retour)
  •  Trois-Pistoles
    • L’église Notre-Dame-des-Neiges (site) : Sa taille imposante témoigne du style éclectique qui caractérise plusieurs des édifices du XIXe siècle en plus de réunir différents styles, allant du néogothique au néoclassique. Ses quatre clochers et son dôme central, achevés en 1887, dominent le paysage de la paroisse de Notre-Dame-des-Neiges. De nombreuses légendes, dont celle du diable bâtisseur, entourent la construction de cette cinquième église paroissiale. Son architecture, ses finis en trompe-l’oeil et son mobilier intérieur suscitent plus d’un commentaire de la part des visiteurs. Le maître-autel sculpté par François Baillargé en 1802 est un vrai chef-d’œuvre. Des concerts estivaux et des expositions temporaires agrémenteront votre visite.
    • Le musée du Saint-Laurent (site) : Le plus important musée du genre dans l’axe Lévis/Gaspé. Automobiles anciennes, dont une Packard 1933 unique en Amérique, équipements de ferme et antiquités diverses. Plusieurs automobiles de la collection, une des plus importantes de la province, ont été utilisées dans des tournages de téléromans et de films.
    • La maison du notaire (site) : Ainsi nommée en mémoire du notaire Hervé Rousseau, cette résidence (1842) se caractérise par son toit à larmier cintré communément appelé toit «Kamouraska». Cette maison est maintenant un lieu d’interprétation du patrimoine et on y trouve des produits de métiers d’art et deux galeries d’art.

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jour 11 (20 juillet) : Rimouski – Saguenay

  • Rimouski
  • Forestville
  • Les Bergeronnes
    • Tadoussac
  • Sacré-Coeur
  • Saguenay

Réveil tôt ce matin car nous devons prendre le traversier qui va nous permettre de traverser le Saint-Laurent et de rejoindre la côte nord (48 km en 60 min). Le soleil est de nouveau de la partie pour cette nouvelle journée découverte de la faune. Aujourd’hui ce sera la faune marine.

Notre premier arrêt se fait aux Bergeronnes. Beaucoup de monde assis sur les rochers en bord du fleuve, mais rien en vue. Nous restons sur place une bonne demi-heure avant de tenter notre chance ailleurs.

Après un détour à Tadoussac pour le repas de midi, nous nous dirigeons vers Saguenay et pénétrons dans le parc du Fjord-du-Saguenay.

Dans le secteur baie Sainte-Marguerite nous retentons notre chance. Cette baie, aussi connue sous le nom de “baie des Bélugas” accueille une troupe de baleines blanches. A ce qu’on dit, on est quasiment sûr d’en voir depuis le bélvédère. Nous marchons donc 3,5 km jusqu’au site d’observation et là encore rien. Déception.

Hormis quelques écureuils la journée s’est soldée par un fiasco animalier. Mais bon, nous avons tout de même pu admirer de superbes paysages.

A Chicoutimi, où nous resterons deux nuits, nous avons loué un petit loft. C’est vraiment agréable de pouvoir se poser sans être à l’étroit.

plus de photos ici.

Résidence Touristique Chicoutimi (booking.com, site officiel)
  • Forestville (site officiel)
  • Les Bergeronnes (site officiel)
    • Centre d’interprétation et d’observation du cap de Bon-Désir (site). Au coeur du par marin du Saguenay-Saint-Lauent, ce site permet d’admirer depuis le rivage, diverses espèces de mammifères marins.
  • Tadoussac (site officiel): Tadoussac est la capitale de l’observation des baleines. De mai à octobre, elles viennent nombreuses dans cette partie du Saint-Laurent, très riche en planctons. Le nom de Tadoussac vient d’ailleurs de l’innu « totouskak » signifiant « les mamelles » en référence aux collines rocheuses et boisées à l’ouest du village. Sur les hauteurs, les arbres disparaissent et la roche nue témoigne, par ses stries, du passage des glaciers il y a des milliers d’années.
  • Sacré-Coeur (site officiel)
    • le parc du Fjord-du-Saguenay, secteur baie Sainte-Marguerite (site, plan, guide). Majestueusement encaissé au creux de deux massifs montagneux, le fjord du Saguenay s’écoule de St-Fulgence à Tadoussac. Cette vallée d’origine glaciaire est le résultat d’un effondrement survenu il y a plus de 175 millions d’années. Elle fut surcreusée et polie sous le passage des glaciers, puis, envahie d’eau de mer. Longue de 100 km, large de 2 à 3 km, cette unité géologique unique compte parmi les fjords les plus longs et les plus méridionaux du monde !
  • Saguenay (site officiel): La récente loi sur les fusions des municipalités a entraîné le regroupement des villes de Chicoutimi, La Baie et Jonquière, qui sont aujourd’hui réunies sous le nom de Saguenay.
    • Saguenay – Lac Saint-Jean (site, plan): La région du Saguenay-Lac-Saint-Jean, seule région de la province à posséder son drapeau distinctif, est divisée en trois sections : le lac Saint-Jean à l’ouest (une véritable mer intérieure), le Haut-Saguenay et sa vallée au centre, et le fjord du Saguenay au sud-est (le seul fjord navigable en Amérique du Nord). On dit de la région du Saguenay-Lac-Saint-Jean que c’est un pays en soi, isolé derrière une chaîne de montagnes et de denses forêts, en plein centre de la carte du Québec.

  • Forestville (site officiel)
  • Longue-Rive (site officiel)
    • Centre d’interprétation des marais salés (site). Les marais salés de Longue-Rive couvrent près de 249 hectares et sont les deuxièmes en importance au Québec par leur superficie. Aire de passage pour les oiseaux migrateurs, ce lieu d’observation constitué de galeries surélevées, en bordure du marais, présente une magnifique vue panoramique. Vous apprenez des secrets sur les milieux humides, à la fois captivants et mystérieux.
  • Les Escoumins (site officiel)
    • Centre de découverte du milieu marin (site). Escoumins a acquis sa notoriété grâce à la richesse et à la beauté de ses fonds marins. Notre localité est reconnue à l’échelle provinciale et mondiale pour la diversité de ses organismes marins qui habitent dans le magnifique fleuve Saint-Laurent. Votre visite ne saurait être complète sans la visite du Centre de découverte du milieu marin. Celui-ci est une fenêtre unique sur le monde sous-marin du Saint-Laurent. Vous pourrez grâce à l’activité «Le Saint-Laurent en direct» voir sur écran géant, les plongeurs-interprètes au fonds de l’eau et interagir avec eux durant leur exploration tout en observant les organismes défiler devant vos yeux.
  • Les Bergeronnes (site officiel)
    • Centre d’interprétation et d’observation du cap de Bon-Désir (site). Au coeur du par marin du Saguenay-Saint-Lauent, ce site permet d’admirer depuis le rivage, diverses espèces de mammifères marins.
  • Tadoussac (site officiel): Tadoussac est la capitale de l’observation des baleines. De mai à octobre, elles viennent nombreuses dans cette partie du Saint-Laurent, très riche en planctons. Le nom de Tadoussac vient d’ailleurs de l’innu « totouskak » signifiant « les mamelles » en référence aux collines rocheuses et boisées à l’ouest du village. Sur les hauteurs, les arbres disparaissent et la roche nue témoigne, par ses stries, du passage des glaciers il y a des milliers d’années.
    • Centre d’interprétation des mammifères marins (site)
    • la chapelle des Indiens (site): La chapelle de Tadoussac est une ancienne chapelle de mission construite entre 1747 et 1750.
    • l’Observatoire d’oiseaux de Tadoussac (site)
  • Sacré-Coeur (site officiel)
    • le parc du Fjord-du-Saguenay, secteur baie Sainte-Marguerite (site, plan, guide). Majestueusement encaissé au creux de deux massifs montagneux, le fjord du Saguenay s’écoule de St-Fulgence à Tadoussac. Cette vallée d’origine glaciaire est le résultat d’un effondrement survenu il y a plus de 175 millions d’années. Elle fut surcreusée et polie sous le passage des glaciers, puis, envahie d’eau de mer. Longue de 100 km, large de 2 à 3 km, cette unité géologique unique compte parmi les fjords les plus longs et les plus méridionaux du monde !
  • Sainte-Rose-du-Nord (site officiel)
  • Saint-Fulgence (site officiel): Entre eau et montagne, Saint-Fulgence est la principale destination ornithologique du Haut-Saguenay. Un arrêt aux Battures et une promenade dans les sentiers aménagés vous permettent d’observer ces nombreux oiseaux de plus près (festival de la bernache à la fin avril ou début mai). Cette municipalité sert également de porte d’entrée pour le parc national des Monts-Valin.
    • le parc national des Monts-Valin (site): Dominant le paysage du Saguenay, le parc national des Monts-Valin (154 km²) possède les plus hauts reliefs de la région, dont le pic de la Hutte (980 m). Ce territoire de montagnes offre paysages, richesses cachées et majestueux points de vue.
  • Saguenay (site officiel): La récente loi sur les fusions des municipalités a entraîné le regroupement des villes de Chicoutimi, La Baie et Jonquière, qui sont aujourd’hui réunies sous le nom de Saguenay.
    • La pulperie (site) : En plein coeur de la ville et accessible en toute saison, La Pulperie de Chicoutimi / Musée régional du Saguenay−Lac-Saint-Jean est un vaste complexe d’animation culturelle et touristique dédié à la préservation et la mise en valeur du patrimoine ainsi qu’à la diffusion de l’art.
    • Saguenay – Lac Saint-Jean (site, plan): La région du Saguenay-Lac-Saint-Jean, seule région de la province à posséder son drapeau distinctif, est divisée en trois sections : le lac Saint-Jean à l’ouest (une véritable mer intérieure), le Haut-Saguenay et sa vallée au centre, et le fjord du Saguenay au sud-est (le seul fjord navigable en Amérique du Nord). On dit de la région du Saguenay-Lac-Saint-Jean que c’est un pays en soi, isolé derrière une chaîne de montagnes et de denses forêts, en plein centre de la carte du Québec.

ferry Rimouski – Forestville (site)

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jour 12 (21 juillet) : Saguenay – Saguenay

  • Saguenay
  • Saint-Félicien
  • Saguenay

Aujourd’hui c’est journée zoo. Nous allons visiter le zoo sauvage de Saint-Félicien. Cela faisait longtemps que nous n’en avions plus visiter. Cela rappelle de bon souvenirs.

La visite du zoo se fait en deux parties: une à pied comme dans un zoo classique et une à bord d’un petit “train” grillagé circulant au milieu d’une zone boréale dans laquelle il est possible d’observer à “l’état sauvage” les animaux vivants dans ce climat. Cette dernière balade dure environ une heure. La visite est commentée par le chauffeur du “train” qui donne des explications sur les animaux que l’on voit, sur les zones “végétales” que l’on traverse. Tout le long du parcours il y a aussi des reconstitutions des habitats des premiers habitants de ces régions. Vraiment intéressant.

La partie “à pied” est nettement plus traditionnelle, mais il est possible d’assister au nourrissage de certains animaux. Ce nourrissage est chaque fois accompagné d’explications.

Après 5 h de visite nous reprenons la route de notre petit loft à Chicoutimi.

Résidence Touristique Chicoutimi (booking.com, site officiel)

  • lac Saint-Jean (site): Véritable mer intérieure, le lac Saint-Jena offre 210 km de rives et des grands espaces à faire rêver l’amant de la nature qui sommeille en vous. Lieux paisibles de villégiature, activités de plein air innombrables (dont la Route de l’eau, un sentier maritime pour les petites embarcations nautiques), attraits majeurs, sites historiques, boutiques de produits régionaux, tout y est pour un séjour inoubliable au pays des bleuets.
  • Saint-Félicien (site officiel): Carrefour important de la région, cette petite ville industrielle, posée sur les rives des rivières Ashuapmushuan, Mistassini et Ticouapé, est surtout connue pour son zoo. Le territoire de Saint-Félicien fut jadis le complice des allées et venues des Innus.

  • lac Saint-Jean (site): Véritable mer intérieure, le lac Saint-Jean offre 210 km de rives et des grands espaces à faire rêver l’amant de la nature qui sommeille en vous. Lieux paisibles de villégiature, activités de plein air innombrables (dont la Route de l’eau, un sentier maritime pour les petites embarcations nautiques), attraits majeurs, sites historiques, boutiques de produits régionaux, tout y est pour un séjour inoubliable au pays des bleuets.
  • Desbiens (site officiel): Ce petit village, tranquille et accueillant, qui fut un centre de rassemblement des nations innues au XVIIe siècle, puis poste de traite des fourrures à partir de 1676 et une mission jésuite, doit son nom à Louis Desbiens, fondateur de la première papeterie, en 1896. Il est surtout connu pour sa grotte (le Trou de la Fée). La rivière Métabetchouane est un des lieux de prédilection pour pêcher la ouananiche, un succulent saumon d’eau douce (ouananiche en innu signifie « le petit égaré »).
    • Le parc de la Caverne “Trou de la Fée” (site): Reconnu Merveille naturelle, ce parc offre un des plus beaux paysages du Québec.
  • Chambord (site officiel)
    • le village historique de Val-Jalbert (site): Construite en 1901, la pulperie de Val-Jalbert, reprise par Alfred Dubuc, produisait chaque jour 50 tonnes de pâte à papier mécanique exportées ensuite vers les États-Unis et l’Europe. L’usine faisait vivre un village modèle et avant-gardiste de 950 personnes dans les années 1920, doté de plans d’urbanisme, de bornes d’incendie, de l’eau courante, de l’électricité et du chauffage à air propulsé. Pour des raisons économiques, accompagnées d’une demande croissante pour le papier et non plus la pulpe, elle fut toutefois contrainte de fermer ses portes en 1927. Tributaire de l’usine, la population quitta graduellement les lieux. Pendant près de 60 ans, les maisons qui avaient abrité les familles des ouvriers sont restées à l’abandon, tel un village fantôme. Aujourd’hui, elles sont restaurées et animées d’habitants en costumes d’époque. Vous pouvez visiter le moulin désaffecté, le couvent-école et le magasin général. Il faut aussi monter au belvédère, par un escalier de 764 marches ou prendre le téléphérique (inclus dans le tarif d’entrée), et aller voir l’impressionnante chute Ouiatchouan. Haute de plus de 70 m, elle assurait autrefois le bon fonctionnement de l’usine.
  • Roberval (site officiel)
    • Ecomusée de la boulangerie (site): L’odeur de pain chaud, personne n’y résiste ! À la boulangerie Perron, l’une des plus vieilles de la ville, vous pourrez voir l’artisan à l’oeuvre, du choix des matières premières jusqu’au produit final.
  • Mashteuiatsh (site officiel): Prononcez « Meuch-téou-yats ». Appelée jadis Ouiatchouan, la communauté autochtone fut créée en 1856 et porte le nom de Mashteuiatsh depuis 1983 (première nation de la région). Les Pekuakamiulnuatshs (Innus du Lac-Saint-Jean) vous accueillent selon leurs valeurs et traditions.
    • „Musée amérindien de Mashteuiatsh et Uashassihtsh – site de transmission culturelle innu (site) : Gardien de l’esprit d’un peuple ancien qui a traversé les âges, le Musée amérindien propose la découverte de l’histoire et de la culture millénaires des Pekuakamiulnuatsh, la communauté autochtone des Innus du lac Saint-Jean. Véritable vitrine de la création artistique contemporaine innue et autochtone, on y retrouve des salles d’exposition, un site extérieur d’interprétation de la flore indigène (« Nutshimatsh, dans la forêt »), ainsi qu’une boutique d’artisanat authentique. En prime, vous pourrez discuter avec les guides interprètes et artisans innus afin d’approfondir vos connaissances. Quant au site Uashassihtsh, des plateaux d’animation, situés en bordure du lac Saint-Jean, permettent aux artisans d’y faire la démonstration des méthodes de fabrication traditionnelles des Ilnuatsh.
  • Saint-Félicien (site officiel): Carrefour important de la région, cette petite ville industrielle, posée sur les rives des rivières Ashuapmushuan, Mistassini et Ticouapé, est surtout connue pour son zoo. Le territoire de Saint-Félicien fut jadis le complice des allées et venues des Innus.
    • Zoo (site)
    • Le Moulin des Pionniers (site): Situé à peine à 15 km de Saint-Félicien, le Moulin des Pionniers vous fait découvrir l’unique moulin à scie actionné par la force de l’eau toujours fonctionnel (en opération depuis 1889).
  • Dolbeau-Mistassini (site officiel): Traversée par les rivières Mistassini et Mistassibi, Dolbeau-Mistassini offre d’agréables plages de sable aménagées, de beaux sites naturels, des hébergements de qualité (dont Vauvert-sur-le-Lac-Saint-Jean) ainsi qu’une série d’activités et de festivals dont l’incontournable Festival du bleuet (fin juillet ou début août). Il faut dire que la municipalité est la capitale mondiale du bleuet sauvage !
  • Péribonka (site officiel): Péribonka « là où le sable se déplace » se situe à proximité de la rivière Péribonka, du lac Saint- Jean et du parc national de la Pointe-Taillon.
    • Le musée Louis-Hémon (site): Lieu historique qui évoque les émouvants passages du roman Maria Chapdelaine à travers des écrits et objets personnels. Sur le site, un sentier pédestre conduit les visiteurs sur les traces de Maria. Expositions et galerie d’œuvres d’artistes reconnus. Enfin, vous retrouvez la Maison Samuel-Bédard (celle de Maria décrite dans le livre) qui hébergea l’auteur breton en 1912.
    • Parc national de la Pointe-Taillon (site): Le parc national de la Pointe-Taillon (92 km²) offre un accès exceptionnel au lac Saint-Jean et à la rivière Péribonka, avec ses magnifiques plages de sable fin et sa piste cyclable aménagée en pleine nature (qui fait partie du célèbre circuit la Véloroute des Bleuets). La faune y est abondante et variée : orignal, castor, bernache du Canada et oie des neiges.
  • Alma (site officiel): Près de la source de la rivière Saguenay, cette ville fondée en 1854 doit son nom à la bataille de Crimée que les troupes franco-britanniques venaient de remporter sur l’armée russe. Tout d’abord centre agricole et forestier, son industrialisation commença avec l’implantation de la papeterie Price, puis du complexe hydroélectrique de l’Isle-Maligne et, à partir des années 1940, avec l’installation de l’aluminerie de la société Alcan, dorénavant sous la bannière du groupe Rio Tinto Alcan (visites guidées disponibles sur réservation). Vie culturelle et artistique, quartiers patrimoniaux, nombreuses activités de plein air, plus de 42 km de plages… Alma est la capitale jeannoise au pays des bleuets.

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jour 13 (22 juillet) : Saguenay – La Malbaie

  • Saguenay
  • la Baie
  • Saint-Félix-d’Otis
  • L’Anse-Saint-Jean
  • Port-au-Persil
  • La Malbaie

Avant dernier jour de notre périple sur les route du Québec. Demain nous rendons la voiture.

Cette nuit il a plu fort et le ciel est encore pas mal bouché. La météo annonce alternance de pluie et d’éclaircies.

Après un petit arrêt à la Baie pour admirer la vue sur le fjord (plus précisément ici la Baie des Ha! Ha!) nous nous arrêtons à Saint-Félix-d’Otis pour visiter le site de la Nouvelle-France. Dans l’anse de la Croix, au bord du Saguenay, ce site fut choisi comme lieu de tournage du film Robe noire, grand succès au Québec en 1991, et ensuite du téléfilm Shehaweh. 24 bâtiments y furent construits avec force détails pour recréer le décor du poste de Québec en 1634: le fort Champlain, la missons des jésuites, des fermes de colons et même un village iroquois. Après le tournage, le lieu fut conservé popur en faire un site touristique. Pendant 1h30 on assiste à une visite guidée “jouée” par des comédiens. Cette visite guidée, comme toute celles que nous avons faites jusque là, est vraiment plaisante et instructive.

Sur la route qui nous ramène sur la baie du Saint-Laurent nous faisons un petit détour par l’Anse-Saint-Jean et par l’anse de la Tabatière pour profiter d’une magnifique vue sur le fjord.

Juste avant d’arriver sur la côte, un gros orage s’abat sur nous. La dernière partie de la route jusqu’à la Malbaie se fait sous la pluie. Nous faisons tout de même un petit crochet par Port-au-Persil pour voir de loin la chapelle de 1893.

plus de photos ici.

Auberge Petite Plaisance (booking.com, site officiel)
  • La Baie (site officiel) : c’est peut-être le point de vue le plus inspirant et le plus mémorable sur le fjord du Saguenay.
  • Saint-Félix-d’Otis (site officiel) : Saint-Félix-d’Otis et ses environs regorgent de lacs et de rivières. Ce décor sauvage a servi de lieu de tournage au film Robe noire en 1990, qui a fidèlement reconstitué, avec l’aide d’historiens, la vie dans la Nouvelle-France du XVIIe siècle.
    • Site de la Nouvelle-France (site) : Un fascinant voyage dans le temps qui vous transporte au XVIIe siècle en Nouvelle-France ! Tout a été mis en œuvre pour vous faire revivre un passé authentique : habitants en costumes d’époque, bâtiments minutieusement reconstitués dans un paysage fidèle aux descriptions.
  • Rivière-Éternité (site officiel) : C’est la principale porte d’entrée du parc national Fjord-du-Saguenay. C’est ici que le fjord est le plus profond (276 m). Ses parois verticales de 300 m sont vertigineuses, et on sait que les fjords sont en général aussi profonds que les caps et les montagnes qui les bordent. Sachez que Rivière-Éternité est également reconnue pour son immense village de crèches internationales. À voir !
    • Parc National Fjord-du-Saguenay (site) : Le parc national Fjord-du-Saguenay, comptant parmi les plus beaux de la province, s’étend sur les deux rives du fjord et se divise en trois secteurs d’accès : Baie-Éternité à Rivière-Éternité, Baie-Sainte-Marguerite à Sacré-Coeur, et L’Anse-de-Tabatière à l’Anse-Saint-Jean.
  • L’Anse-Saint-Jean (site officiel) : L’Anse-Saint-Jean, offrant une magnifique ouverture sur le fjord du Saguenay, fait partie de l’Association des plus beaux villages du Québec. Vous trouverez l’âme des maisons ancestrales et le grand pont couvert, appelé le pont Couv’Art, qui recèle d’ailleurs d’œuvres d’art à l’intérieur. En été, profitez des cinq belvédères et de la tour d’observation érigés en haut de la montagne. Bon plan : les Navettes de l’Anse, reliant différents points d’intérêt du village en saison estivale.
  • Port-au-Persil : ainsi nommé au 17ème siècle par Champlain, est un minuscule hameau délicatement posé au fond d’une petite baie au bord du Saint-Laurent.
    • le quai
    • la chapelle de 1893
  • La Malbaie (site officiel): À l’embouchure de la rivière Malbaie, ce centre administratif est la ville la plus importante de Charlevoix. Samuel de Champlain baptise la baie « malle baye » (mauvaise baie) en 1608, parce que ses navires, qui y ont mouillé l’ancre, s’y sont tous échoués. Effectivement, la mer se retire complètement de la baie à marée basse. Après la conquête anglaise, elle est rebaptisée Murray Bay par John Nairn et Malcolm Fraser, deux officiers écossais, en souvenir du gouverneur James Murray qui la leur a concédée.

  • La Baie (site officiel) : c’est peut-être le point de vue le plus inspirant et le plus mémorable sur le fjord du Saguenay.
    • le musée du Fjord (site) : Entièrement renouvelé, le Musée du Fjord vous plonge dans l’univers captivant du fjord du Saguenay et de ses habitants.
    • le musée de la défense aérienne (site) : L’aviation militaire canadienne est marquée par des héros exceptionnels ayant vécu des aventures extraordinaires. Avec son exposition « Maîtres du ciel », le Musée de la défense aérienne relate la gloire et les malheurs des aviateurs canadiens.
    • Observation de l’ours noir (site): Du haut d’un mirador, vous pourrez observer l’ours noir dans son habitat naturel en toute sécurité, le tout précédé d’une conférence qui explique tout sur cet impressionnant animal.
  • Saint-Félix-d’Otis (site officiel) : Saint-Félix-d’Otis et ses environs regorgent de lacs et de rivières. Ce décor sauvage a servi de lieu de tournage au film Robe noire en 1990, qui a fidèlement reconstitué, avec l’aide d’historiens, la vie dans la Nouvelle-France du XVIIe siècle.
    • Site de la Nouvelle-France (site) : Un fascinant voyage dans le temps qui vous transporte au XVIIe siècle en Nouvelle-France ! Tout a été mis en œuvre pour vous faire revivre un passé authentique : habitants en costumes d’époque, bâtiments minutieusement reconstitués dans un paysage fidèle aux descriptions.
  • Rivière-Éternité (site officiel) : C’est la principale porte d’entrée du parc national Fjord-du-Saguenay. C’est ici que le fjord est le plus profond (276 m). Ses parois verticales de 300 m sont vertigineuses, et on sait que les fjords sont en général aussi profonds que les caps et les montagnes qui les bordent. Sachez que Rivière-Éternité est également reconnue pour son immense village de crèches internationales. À voir !
    • Parc National Fjord-du-Saguenay (site) : Le parc national Fjord-du-Saguenay, comptant parmi les plus beaux de la province, s’étend sur les deux rives du fjord et se divise en trois secteurs d’accès : Baie-Éternité à Rivière-Éternité, Baie-Sainte-Marguerite à Sacré-Coeur, et L’Anse-de-Tabatière à l’Anse-Saint-Jean.
    • Les crèches de Noël (site) : une coutume incite les habitants du bourg à construire chaque année des crèches devant leur maison. Un petit musée en présente une sélection.
  • L’Anse-Saint-Jean (site officiel) : L’Anse-Saint-Jean, offrant une magnifique ouverture sur le fjord du Saguenay, fait partie de l’Association des plus beaux villages du Québec. Vous trouverez l’âme des maisons ancestrales et le grand pont couvert, appelé le pont Couv’Art, qui recèle d’ailleurs d’œuvres d’art à l’intérieur. En été, profitez des cinq belvédères et de la tour d’observation érigés en haut de la montagne. Bon plan : les Navettes de l’Anse, reliant différents points d’intérêt du village en saison estivale.

    • le site du “1000 dollars”: belvédère avec son pont qui figurait sur l’ancien billet de 1000 $.
    • le sentier des chutes: joli sentier à travers bois qui mène à une cascade puis à un belvédère.
    • croisières du Fjord Saguenay
  • Petit-Saguenay (site officiel) : Blotti dans son écrin de montagne, Petit-Saguenay séduit par sa petite rivière (13 km) longeant le village, où les pêcheurs courtisent le saumon, et par ses parterres fleuris. D’ailleurs, si vous suivez la rue Morin le long de la rivière (devient la rue du Quai), vous aboutirez au quai municipal où une vue sublime sur le fjord vous attend.
  • Saint-Siméon (site officiel)
  • Port-au-Persil : ainsi nommé au 17ème siècle par Champlain, est un minuscule hameau délicatement posé au fond d’une petite baie au bord du Saint-Laurent.
    • le quai
    • la chapelle de 1893
  • La Malbaie (site officiel): À l’embouchure de la rivière Malbaie, ce centre administratif est la ville la plus importante de Charlevoix. Samuel de Champlain baptise la baie « malle baye » (mauvaise baie) en 1608, parce que ses navires, qui y ont mouillé l’ancre, s’y sont tous échoués. Effectivement, la mer se retire complètement de la baie à marée basse. Après la conquête anglaise, elle est rebaptisée Murray Bay par John Nairn et Malcolm Fraser, deux officiers écossais, en souvenir du gouverneur James Murray qui la leur a concédée.
    • Le Musée de Charlevoix (site): Installé depuis 1990 dans un bâtiment au bord du fleuve, le Musée de Charlevoix a pour mission de faire découvrir l’histoire, l’ethnologie et l’art populaire de la région à travers des expositions thématiques temporaires consacrées exclusivement à des artistes locaux, ainsi que de riches collections sur l’histoire et le patrimoine.
    • La forge-Menuiserie Cauchon (site): Construite au bord de la rivière Malbaie en 1882, la forge-menuiserie Cauchon est classée monument historique depuis 1983. Elle dévoile plus de 130 ans d’histoire de forge et de menuiserie et renferme une collection de 200 outils de confection artisanale. Un forgeron y travaille tous les jours.
    • Les chutes Fraser (à 5 km du centre de la Malbaie).
    • Secteur Pointe-au-Pic: Occupant, au sud de La Malbaie, le promontoire qui ferme la baie, Pointe-au-Pic est un lieu de villégiature lancé au début du XIXe siècle. Les bateaux à vapeur, que l’on surnommait palais flottants, promenaient alors dans ses parages la belle société de New York, de Toronto ou de Montréal en quête de dépaysement romantique. Le Manoir Richelieu était son lieu de rendez-vous favori.

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jour 14 (23 juillet) : La Malbaie – Québec

Entre la Malbaie et Baie-Saint-Paul, deux parcours possibles:

  • parcours 1:
    • La Malbaie
    • Sainte-Irénée
    • Les Eboulements
    • Saint-Joseph-de-la-Rive
    • Baie-Saint-Paul
  • parcours 2:
    • La Malbaie
    • Clermont
    • Saint-Aimé-des-Lacs
    • Saint-Urbain
    • Baie-Saint-Paul
  • Beaurpé
  • Sainte-Anne-de-Beaupré
  • Château-Richer
  • Beauport
  • Québec

Dernier jour dans notre gros SUV. A 15h il faut que l’on rende la voiture à Québec. Nous prenons le parcours n°2 (celui qui fait un détour par l’intérieur des terres) et visitons la maison du Bootlegger. Bâtie en 1830 à une vingtaine de km de là, cette maison d’inspiration bretonne a été démontée et assemblée de nouveau en 1939 à la demande du nouveau propriétaire (Norie Sellar) pour en faire un tripot clandestin du temps de la prohibition sous le nom du Club des Monts. Le trajet pour accéder au bar est un vrai labyrinthe (il fallait bien que les policiers de l’époque prennent du temps pour y arriver !). La visite guidée est très vivante et donne plein d’informations sur cette période de la prohibition (qui a tout de même duré jusqu’en 1964 au Canada).

Un peu avant d’arriver à Québec nous faisons encore un petit arrêt au Sanctuaire de Sainte-Anne-de-Beaupré. Malheureusement nous ne pourrons pas visiter la basilique, un mariage s’y déroulant.

Puis c’est l’arrivée à Québec. Nous déposons nos bagages dans l’appartement que nous avons loué dans la vieille ville (un bel appartement de deux chambres, un grand séjour-salle à manger, une cuisine et une salle de bain), puis nous rapportons la voiture à l’agence de location.

Cette fin d’après-midi nous ressortons pour découvrir un petit peu la vieille ville et en profitons pour manger une bonne glace au “Délice de l’érable”.

plus de photos ici.

La Maison du Cocher (booking.com, site officiel)

parcours 2:

  • Saint-Aimé-des-Lacs (site officiel): Dans l’arrière-pays de Charlevoix, à environ 15 km du centre-ville de La Malbaie, Saint-Aimé-des-Lacs est un lieu de villégiature et de tourisme exceptionnel. On peut en effet accéder au parc national des Hautes-Gorges-de-la-Rivère-Malbaie
    • La maison du Bootlegger (site): De style typiquement québécois, elle fut construite en 1860, démantelée et reconstruite dans l’Arrière-Pays en 1933 par un gentleman de Pennsylvanie. C’est à une époque où l’usage de l’alcool était interdit par l’église et la prohibition règnait aux États-Unis. Afin de déjouer les plus forts membres de l’escouade des mœurs, il modifia l’accessibilité aux différentes pièces et réalisa un véritable labyrinthe. Photographies et journaux des années 1930 tapissent les corridors ; bars camouflés, signature d’Elvis Presley et beaucoup d’autres curiosités ornent les lieux.
  • Sainte-Anne-de-Beaupré (site officiel): Sainte-Anne-de Beaupré est mondialement connue pour son sanctuaire, lieu de pèlerinage attirant plus de 1 million de visiteurs chaque année. Le Cyclorama de Jérusalem, situé à quelques pas de là, est une autre attraction fort populaire.
    • Sanctuaire de Sainte-Anne-de-Beaupré (site): Sur la rive nord du Saint-Laurent, face à l’île d’Orléans, cette basilique, dont la première construction remonte au XVIIe siècle, est dédiée à la sainte patronne du Québec. De renommée mondiale, facilement repérable de la route, elle est le plus ancien lieu de pèlerinage de la province. C’est un gigantesque édifice néogothique pourvu de deux clochers entre lesquels veille la statue dorée de sainte Anne. À l’intérieur, la basilique se compose de cinq immenses nefs séparées par des colonnes à chapiteaux sculptés, et la voûte en berceau est recouverte de mosaïques relatant la vie de sainte Anne. Environ 200 vitraux à dominante bleue l’éclairent. Dans l’aile gauche du transept, la statue de la sainte tenant Marie dans ses bras attire les fidèles, qui se recueillent devant elle. Les reliques de sainte Anne sont abritées dans la chapelle située juste derrière.
  • La Malbaie (site officiel): À l’embouchure de la rivière Malbaie, ce centre administratif est la ville la plus importante de Charlevoix. Samuel de Champlain baptise la baie « malle baye » (mauvaise baie) en 1608, parce que ses navires, qui y ont mouillé l’ancre, s’y sont tous échoués. Effectivement, la mer se retire complètement de la baie à marée basse. Après la conquête anglaise, elle est rebaptisée Murray Bay par John Nairn et Malcolm Fraser, deux officiers écossais, en souvenir du gouverneur James Murray qui la leur a concédée.
    • Le Musée de Charlevoix (site): Installé depuis 1990 dans un bâtiment au bord du fleuve, le Musée de Charlevoix a pour mission de faire découvrir l’histoire, l’ethnologie et l’art populaire de la région à travers des expositions thématiques temporaires consacrées exclusivement à des artistes locaux, ainsi que de riches collections sur l’histoire et le patrimoine.
    • La forge-Menuiserie Cauchon (site): Construite au bord de la rivière Malbaie en 1882, la forge-menuiserie Cauchon est classée monument historique depuis 1983. Elle dévoile plus de 130 ans d’histoire de forge et de menuiserie et renferme une collection de 200 outils de confection artisanale. Un forgeron y travaille tous les jours.
    • Les chutes Fraser (à 5 km du centre de la Malbaie).
    • Secteur Pointe-au-Pic: Occupant, au sud de La Malbaie, le promontoire qui ferme la baie, Pointe-au-Pic est un lieu de villégiature lancé au début du XIXe siècle. Les bateaux à vapeur, que l’on surnommait palais flottants, promenaient alors dans ses parages la belle société de New York, de Toronto ou de Montréal en quête de dépaysement romantique. Le Manoir Richelieu était son lieu de rendez-vous favori.

parcours 1:

  • Sainte-Irénée (site officiel): Pittoresque village de 700 habitants accroché à la montagne, aussi joli que la longue plage de sable fin que l’on longe pour y accéder.
  • Les Eboulements (site officiel): Village au nom évocateur qui rappelle le gigantesque glissement de terrain qui a suivi le terrible tremblement de terre de 1663. Les Éboulements a su cependant conserver son patrimoine architectural avec son église de pierre, son moulin seigneurial et ses anciennes maisons bordant la rue principale.
  • Saint-Joseph-de-la-Rive
    • Musée maritime de Charlevoix (site): Une visite qui permet de mieux comprendre l’histoire de la navigation (principalement l’époque des goélettes de bois) et son importance dans le développement économique de Charlevoix et des régions du Québec.
    • Economusée de la Papeterie Saint-Gilles (site): La Papeterie Saint-Gilles a été fondée en 1965 par Monseigneur Félix-Antoine Savard, auteur du célèbre roman Menaud, maître-draveur. L’établissement est le fruit d’une passion partagée par le mécène Mark Donohue et quelques amis.
    • Ile-aux-Coudres (site): Cette petite île s’étend au large de la côte de Charlevoix, face à Baie-Saint-Paul. Le 6 septembre 1535, lors de son deuxième voyage, Jacques Cartier la baptisa ainsi à cause des couldres (coudriers), ancien nom des noisetiers, qui poussent ici en grand nombre. Vers 1728, les colons vinrent s’établir sur l’île qui, pendant longtemps, appartint au Séminaire de Québec. Les habitants pratiquaient l’agriculture et chassaient aussi le beluga, qu’ils appelaient marsouin, pour son huile. La chasse au beluga a cessé à la fin des années 1960. L’espèce, menacée de disparition, est aujourd’hui protégée.
      • Economusée du cidrier (site)
      • Economusée de la meunerie (site): L’un est à vent, l’autre à eau ; c’est le seul site en Amérique réunissant ces deux types de moulin ainsi que la maison du meunier. Ces deux moulins sont en fonction et datent du début du XIXe siècle (1836 pour le premier, 1825 pour le second).
      • La maison Bouchard : une des premières maisons de l’île.
      • La maison Leclerc : petite maison en pierre qui date de 1750.
      • La maison Croche : maison qui tangue …

parcours 2:

  • Saint-Aimé-des-Lacs (site officiel): Dans l’arrière-pays de Charlevoix, à environ 15 km du centre-ville de La Malbaie, Saint-Aimé-des-Lacs est un lieu de villégiature et de tourisme exceptionnel. On peut en effet accéder au parc national des Hautes-Gorges-de-la-Rivère-Malbaie.
    • Parc national des Hautes-Gorges-de-la-Rivère-Malbaie (site): D’une superficie de 224,7 km², le parc national des Hautes-Gorges-de-la-Rivière-Malbaie, aire protégée de la Réserve mondiale de la biosphère de Charlevoix, abrite l’une des plus impressionnantes vallées du Québec. Les monts Elie et Jérémie ainsi que la montagne des Érables dominent les vallées de la rivière Malbaie, de la rivière des Martres, du lac Noir et du ruisseau du Pont. En effet, les gigantesques parois (dénivellation de 1 000 m) qui encaissent la rivière Malbaie, la beauté des paysages et l’importante valeur écologique de ce parc rendent ce territoire exceptionnel dans l’est du Canada.
    • La maison du Bootlegger (site): De style typiquement québécois, elle fut construite en 1860, démantelée et reconstruite dans l’Arrière-Pays en 1933 par un gentleman de Pennsylvanie. C’est à une époque où l’usage de l’alcool était interdit par l’église et la prohibition règnait aux États-Unis. Afin de déjouer les plus forts membres de l’escouade des mœurs, il modifia l’accessibilité aux différentes pièces et réalisa un véritable labyrinthe. Photographies et journaux des années 1930 tapissent les corridors ; bars camouflés, signature d’Elvis Presley et beaucoup d’autres curiosités ornent les lieux.
    • Le musée de la Drave de Charlevoix
  • Saint-Urbain (site officiel): Porte d’entrée du parc national des Grands-Jardins, situé dans l’arrière-pays de Charlevoix, le village de Saint-Urbain regroupe aussi plusieurs producteurs agroalimentaires d’intérêt : Les Viandes Biologiques de Charlevoix, le Centre de l’Émeu de Charlevoix, la Ferme Basque de Charlevoix, et la Charcuterie Charlevoisienne. Une destination gourmande !
    • Le Parc national des Grands-Jardins (site): Jadis fréquenté par les chasseurs montagnais et, vers la fin du XIXe siècle, par quelques riches Ontariens et Américains en villégiature, s’adonnant à la chasse au caribou et à la pêche à l’omble de fontaine, le parc national des Grands-Jardins, est un territoire de 310 km² situé au coeur de la Réserve mondiale de la biosphère de Charlevoix. Paysages de taïga et de toundra, forêt d’épinettes noires avec sol recouvert de lichen… La faune est représentative des régions nordiques : orignal, ours, loup, caribou et lynx. Le sommet du mont du Lac-des-Cygnes s’élève à 980 m d’altitude et le panorama est unique.
  • Baie-Saint-Paul (site officiel)
    • Laiterie Charlevoix, économusée de la fromagerie (site)
  • Beaurpé (site officiel): Sise entre le mont Saint-Anne et le fleuve, Beaupré est surtout une destination nature avec un éventail d’activités d’aventure et d’écotourisme.
    • Canyon Sainte-Anne (site): En s’échappant brusquement du Bouclier canadien, la rivière Sainte-Anne, après une chute de 74 m de hauteur, se précipite en bouillonnant dans une étroite faille rocheuse dominée par des arbres centenaires.
    • Saint-Joachim : La première ferme de la Nouvelle France fut construite dans ce joli village. Aujourd’hui, c’est un arrêt migratoire important pour les oies des neiges.
    • Réserve nationale de faune du Cap-Tourmente (site): Site ornithologique majeur au pays.
  • Sainte-Anne-de-Beaupré (site officiel): Sainte-Anne-de Beaupré est mondialement connue pour son sanctuaire, lieu de pèlerinage attirant plus de 1 million de visiteurs chaque année. Le Cyclorama de Jérusalem, situé à quelques pas de là, est une autre attraction fort populaire.
    • Sanctuaire de Sainte-Anne-de-Beaupré (site): Sur la rive nord du Saint-Laurent, face à l’île d’Orléans, cette basilique, dont la première construction remonte au XVIIe siècle, est dédiée à la sainte patronne du Québec. De renommée mondiale, facilement repérable de la route, elle est le plus ancien lieu de pèlerinage de la province. C’est un gigantesque édifice néogothique pourvu de deux clochers entre lesquels veille la statue dorée de sainte Anne. À l’intérieur, la basilique se compose de cinq immenses nefs séparées par des colonnes à chapiteaux sculptés, et la voûte en berceau est recouverte de mosaïques relatant la vie de sainte Anne. Environ 200 vitraux à dominante bleue l’éclairent. Dans l’aile gauche du transept, la statue de la sainte tenant Marie dans ses bras attire les fidèles, qui se recueillent devant elle. Les reliques de sainte Anne sont abritées dans la chapelle située juste derrière.
    • Le cyclorama de Jérusalem (site): Le Cyclorama de Jérusalem est le plus grand panorama d’Amérique. En exposition à Ste-Anne-de-Beaupré depuis 1895, cette œuvre gigantesque exécutée à Munich de 1878 à 1882, mesure 14 mètres de haut (45 pieds) et 110 mètres de circonférence (360 pieds), c’est-à- dire une illusion extraordinaire de 1540 mètres carrés donnant aux spectateurs l’impression d’être eux-mêmes à Jérusalem et de revivre le crucifiement.
  • Château-Richer : Son histoire et son patrimoine remontent à près de 400 ans. Château-Richer fut en effet la première paroisse organisée en Amérique du Nord et plusieurs familles québécoises de souche tirent leurs origines de cette municipalité.
  • Beauport : Situé à quelques minutes en voiture du Vieux- Québec, l’arrondissement de Beauport renferme un secteur historique d’importance avec plus de 550 bâtiments et ensembles d’âges et de styles variés.
    • Parc de la Chute-Montmorency (site): Bien que moins large que les chutes du Niagara, le saut est plus haut d’une trentaine de mètres. Le site a été aménagé en vue d’offrir aux visiteurs des points de vue grandioses. La chute est encore plus spectaculaire en hiver lorsqu’elle est gelée et que s’est créé le « pain de sucre », énorme cône de glace formé par la cristallisation de la vapeur d’eau en suspension : ce dernier est en lui-même une curiosité qui attire toujours beaucoup de monde. Surplombant la chute, le Manoir Montmorency, élégante villa reconstruite comme au XVIIIe siècle, abrite un centre d’interprétation consacré à l’histoire du site.
    • Iles d’Orléans (site)

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jour 15 (24 juillet) : Québec

Ce matin je me fais un tour de la vieille ville tout seul, avant le flot des touristes. Tout est bien calme. Ça va changer dans un moment.

Pas besoin de se stresser pour sortir pour visiter. On déjeune tranquillement à l’appartement puis on sort pour une découverte presque complète de la vieille ville: petites rues, ruelles, basique-cathédrale Notre-Dame-du-Québec, le château Frontenac, la terrasse Dufferin. Pour rentrer nous empruntons la promenade des Gouverneurs qui nous amène de l’autre côté de la citadelle. Le retour à la rue Dauphine se fait par les remparts.

L’après-midi avec Karim on va visiter la citadelle.

Québec est une ville paisible, mais passablement envahie par les touristes. Ça nous change des derniers jours passés dans la nature.

plus de photos ici.

la citadelle (site)

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jour 16 (25 juillet) : Québec

Ce matin nous poursuivons notre visite en allant voir les deux quartiers au pied de la vieille ville: le quartier de Petit Champlain et celui du Vieux-Port. A nouveau un dédale de petites rues. Certaines sont très axées tourisme, d’autres par contre sont complétement délaissées par la foule.

C’est dans le premier quartier que l’on peut admirer la fresques des Québécois: immense tableau qui présente, sur fond de quatre saisons, les grands personnages et la petite histoire de la ville.

L’après-midi le temps est maussade, il pleut. Cela ne nous empêche pas de faire une petite sortie en ville. Plutôt shopping celle-ci.

plus de photos ici.

fresque des Québécois (site): La « Fresque des Québécois » est une œuvre qui évoque l’histoire de la ville de Québec par la représentation de personnages fondateurs ou marquants de cette histoire, comme Samuel de Champlain, Marie Guyart de l’Incarnation, Lord Dufferin ou encore Félix Leclerc. Elle intègre également des spécificités architecturales, géographiques et culturelles de la capitale, comme les maisons anciennes de Place-Royale, les escaliers reliant haute-ville et basse-ville, les fortifications qui ceinturent le Vieux-Québec, les armoiries de Québec ou encore le Bonhomme Carnaval. Enfin, elle rappelle les différentes communautés culturelles qui ont participé et participent toujours à la vie de la capitale : Amérindiens, colons français et britanniques, immigrants irlandais et, bien sûr, les Québécois d’aujourd’hui.

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jour 17 (26 juillet) : Québec – Montréal

 

Ce matin nous n’avons aucune raison de nous presser. Notre train pour Montréal est à 13h et nous devons rendre l’appartement pour 11h. Nous avons donc bien le temps de faire nos valises, de ranger un peu et de nous rendre à pied à la gare du Palais (elle n’est qu’à 500 m de notre location).

Le train est annoncé à l’heure. Les formalités pour monter dans le train ressemblent un peu à celles d’un aéroport. Nous devons déposer nos bagages à un guichet avant de monter dans le train. On les récupérera à l’arrivée. Puis on attend le moment d’embarquer à bord du train.

A 13 h précises le train part pour Montréal. Le train est très confortable, le wifi est à disposition.

Nous arrivons à la gare centrale de Montréal à 16h15. Le temps d’aller récupérer nos bagages sur le tapis roulant, nous prenons le chemin de notre appartement. De nouveau nous faisons le trajet à pied. L’arrivée à “l’hôtel” est étrange. Nous avons d’abord dû téléphoner à une réception virtuelle pour obtenir un code d’accès à l’établissement, puis une fois à l’intérieur, nous avons fait les formalités via Skype. Nous avons ainsi reçu le code d’accès à notre loft. Une fois à l’intérieur c’est la surprise totale. Presque 140 m² à disposition ! Le rêve pour finir ces belles vacances ! Difficile de ressortir pour aller faire des courses pour le repas du soir. Mais bon, il faut bien manger …

 

plus de photos ici.

LikeAHotel (booking.com, site officiel)

compagnie de trains : Via Rail

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jour 18 (27 juillet) : Montréal

 

Tôt ce matin je sors faire un petit tour en ville. Avec mon objectif grand-angle je vais faire une série de photos de bâtiments. Mes pas me font passer à côté du Centre Bell, stade de glace (21273 places) des Canadiens de Montréal.

Ce matin, nous avons décidé d’aller voir un peu de l’autre côté de la ville, dans le quartier de Petite Italie, le marché Jean-Talon. Ce marché coloré, pleins de petits stands de fruits, légumes, de viande, de poissons, … est très agréable à visiter. Les fruits et légumes sont vraiment bien présentés et on a envie d’en acheter tout plein. Mais là aussi, comme dans tous les magasins de la région, les prix sont élevés.

La visite de ce marché est finalement assez courte. Nous décidons de reprendre le métro pour aller faire un tour dans le parc Jean-Drapeau. On passe devant la Biosphère d’Environnement Canada. Nous voulons ensuite traverser le parc pour rejoindre le bord du Saint-Laurent pour avoir une belle vue de la ville. Mais impossible ! Un festival a lieu dans cette partie et nous ne pouvons pas passer. Nous devons donc faire le tour. C’est moins bien, mais pas moyen de faire autrement.

Nous retournons en ville pour manger. On laisse les filles se balader sur Sainte-Catherine (“ze” rue des boutiques) et nous on part visiter le Biodôme: ensemble de 4 écosystèmes rassemblés en un seul lieu : Forêt tropicale humide, Érablière des Laurentides,Golfe du Saint-Laurent, Région subpolaire. Visite qui vaut le détour.

On profite d’être dans le coin pour voir de près la célèbre tour penchée du stade olympique.

plus de photos ici.

  • marché Jean-Talon (site)
  • parc Jean-Drapeau (site): L’île Sainte-Hélène est le joyau le plus complet de Montréal, accessible par vélo, bateau, bus, métro ou auto. Un peu à l’écart et épousée par le Saint-Laurent, elle offre une foule d’activités sur une surface particulièrement privilégiée. Ainsi, vous y trouverez un important belvédère pour admirer le la ville et le fleuve (il est fort à parier que même les Montréalais l’ignorent), sans oublier la piscine extérieure, la Biosphère (musée de l’Environnement), le Musée Stewart (musée d’Histoire), les lacs (lac des Cygnes, au sud, et lac des Dauphins, au nord), la marina et le parc d’attractions La Ronde. De fin juin à début août s’y déroule une des plus grandes compétitions d’art pyrotechnique du monde, l’International des feux Loto-Québec. C’est aussi le lieu du fameux rendez-vous dominical du Piknic Électronik (mi-mai à fin septembre). En hiver, plusieurs festivités s’y tiennent, dont la Fête des Neiges, un grand rassemblement festif et familial. Sur l’île Notre-Dame, créée artificiellement à l’occasion de l’Expo 67 et accessible par le pont des Îles prolongeant le pont de la Concorde, se trouvent le bassin olympique, le circuit automobile Gilles-Villeneuve sur lequel se dispute le Grand Prix de Formule 1 en juin, les superbes jardins des Floralies, l’agréable plage pour la baignade (avec son système de filtrage naturel totalement inédit), sans oublier le fameux casino. Le parc offre également pistes de ski de fond, patinoires, championnats d’aviron et événements extérieurs, été comme hiver.

  • L’espace pour la vie et parc olympique
    • Biodôme (site): Dans cet «espace pour la vie», les écosystèmes les plus extraordinaires des Amériques ont été reconstitués : le golfe et l’estuaire du Saint-Laurent, l’érablière des Laurentides, la forêt tropicale humide, et même les régions subpolaires des côtes du Labrador et des îles subantarctiques. L’idée est de sensibiliser la population à la précarité de notre environnement dans une optique de préservation de la biodiversité et d’adoption de comportements responsables. Hautement apprécié en toute saison, nous vous recommandons « l’expérience » d’une visite de la forêt tropicale en plein hiver. Cet écosystème truffé d’amphibiens, de reptiles, d’oiseaux et de poissons aux couleurs paradisiaques provoque un véritable choc culturel, en plus de vous faire oublier le froid qui sévit à l’extérieur. Pour ceux et celles qui désirent voir un castor ou un pingouin, c’est aussi le meilleur (sinon le seul) endroit à Montréal.
    • Parc olympique (site)

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jour 19 (28 juillet) : Montréal

Ce matin c’est visite de musée: celui des Beaux-Arts. Ce musée se compose de plusieurs édifices de part et d’autres de la rue et reliés par un souterrain. Ce musée abrite un vaste résumé de l’art mondial à travers les siècles: peintures, design, et art inuit.

A midi, nous sommes allé mangé dans une autre institution montréalaise, le Brisket. Ce restaurant est spécialisé dans la viande fumée, la fameuse smoked meat. Ils ont également un choix de hamburgers très vaste. Cela va du traditionnel bœuf, en passant par le bison, le caribou et bien d’autres encore.

L’après-midi c’est repos à l’appartement. Enfin pas pour tous. Je ne peux pas rester assis tranquillement alors qu’il y a encore d’autres quartiers que je ‘ai pas vu. Je sors donc me balader dans Westmount. Le quartier riche et plutôt anglophone de Montréal. Mais aujourd’hui, entièrement entouré par la ville de Montréal, il devient de plus en plus francophone.

plus de photos ici.

musée des Beaux-Arts (site)

Brisket (site)

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jour 20 (29 juillet) : Montréal

Ben voilà. C’est le dernier jour au Canada. Ce soir on reprend l’avion pour rentrer à la maison. Mais on va encore profiter un peu de la ville. Il faut tout d’abord se débarrasser des valises. Pour ça, direction la gare routière et sa consigne. Ça tombe assez bien parce que c’est aussi le départ du bus 747 pour l’aéroport.

Pour le midi on a décidé de retourner à la banquise pour manger une dernière poutine. Depuis la gare routière on reprend le métro direction Mont-Royal. De là, un marche en peu dans les rues du quartier et on tombe pile sur le restaurant.

L’après-midi on retourne dans le Vieux-quartier pour visiter un dernier musée: le musée Sir-George-Etienne-Cartier. Ce musée est consacré à celui qui a été un des moteur de la création du Canada.

Vers 17h on va chercher nos bagages puis c’est le départ pour l’aéroport.

Fin d’un très beau séjour au Canada. Toutes les personnes rencontrées étaient charmantes. Les visites faites toujours très instructives et très vivantes. Nous avons été frappés par la dimension du pays. Les distances entre les différents lieux de visite sont parfois très grandes. On peu parfois rouler longtemps sans voir une maison. C’est vraiment quelque chose qui ne nous est pas familier.

plus de photos ici.

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jour 21 (30 juillet) : Lyon – Suisse

Le vol s’est bien passé. On a quand même réussi à “dormir” deux petites heures. Une fois les bagages récupérés le service de parking vient nous chercher et nous pouvons embarqué dans notre voiture. Qu’elle nous semble petite en comparaison de l’Acadia !

service de parking à Lyon: MDS Parc (site)

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